Comment

En fin de semaine je me sauve avec des antithèses de moi. Moi qui vis dans une demi réalité depuis une semaine. J’ai peur que ça soit difficile pour les autres, je suis un sacré boulet. Enfin…
Je repartirai peu être à la chasse à la lune d’où je suis. Les papillons m’obsèdent de plus en plus, faut croire que je suis à la limite de mon personnage. Et putain que mes cheveux violets me manque! Ces temps si les gens autour de moi se plaisent à me ramener à l’ordre, à me dicter des trucs, à me pousser dans la bonne direction. Je voudrais leur répondre en vomissant. Ils n’ont rien compris. Je sens que je suis à la limite de quelque chose d’intéressant, je sens que je vais bientôt répondre à une question sur ma réalité, ma réalité à moi. Je me perds, je vois flou, j’ai la nausée, je vole dans tous les sens en attendant de me butter sur quelque chose. Je fais des rêves étranges dans lesquels je retrouve ce que j’ai perdu.

- Tu peux me le dire tsé. Disparais.

Je me suis glissé dans une foutue situation de merde. Où s'arrête donc le mensonge? Où s'arrête donc le bonheur? Pouquoi les hommes ont-ils créé ces barrières? Et moi qui vis pour 4. Personne ne se souci de changer les règle pour moi? Je vais faire mal. Tout est entre mes mains, une fois de plus. Je suis bouleversé dans mon demi-tourment. J’ai peur. Je tremble encore. Et mes mains redeviennent humides.

Allez, disparais! J'ai envi de m'ennuyer de toi, qu'il disait...


CY : T'étais pas comme ça. C'est tout. (rajouté le 26 décembre 2007)

Qu'on me jete, que je reprenne mon élan !

Je me cache
dans ma folie
et ma fumé
et cette peur qui n'est en rien la mienne
et mon brouillard
et ce brouillard éternel de lui.

Au départ, s'il ne reste plus rien
autant se perdre.

Et pendant qu’il me serre dans ses bras, je repense à cette fraction de seconde déterminante. Je comprends donc ce que je suis, pour lui. Je croyais que nous étions tiré par les mêmes ficelles. Non. Je suis une curieuse marionnette qui l’amuse par son contrôle. Et lui, les mains ultimes, celles qui tirent et qui tendent, prend-il conscience du cycle qui me tourmente? Peut-être est-ce lui qui le commende. Moi, sous mes ficelles, je me bats pour que tout recommence à chaque instant. C’est si facile de se lasser, si facile de me tasser. Une marionnette, quand on en veut plus on la jette dans un coin. Dans mon noir et mon gris, je continu mes réflexions et je sais que rien n’est terminé. Je ne réfléchis pas en quête d’amélioration ou d’évolution de moi-même, mais plutôt par curiosité. Je gobe tous ce qui m’entoure, ne garde que le meilleur, et en voulant toujours plus je grimpe à ma façon. J’aime les gens qui savent m’arrêter. Ralentir le rythme, vivre doucement chaque seconde en éternité. Et lui, montagne Insurmontable, que veut-il? Grandir, toujours grandir jusqu’à ce qu’on ne nous atteigne plus? Et pendant qu’il me serre dans ses bras, je grandis avec lui et j’ai peur de perdre le reste. Je n’ai plus de contrôle. Et pendant qu’il me sert dans ses bras, je tente de comprendre pourquoi il me relance.

Enfin, la terre peut recommencer à tourner

Enfin, la terre peut recommencer à tourner.

Bertrand Cantat, alias le il-n’y-a-pas-de-mots-pour-décrire-ce-qu’il-fait-tant-c’est-génial, pourrait être libéré!!!!!!!!!!!!
Levez-vous écorchés vif, amoureux enragés et indestructibles et saluons bien bas celui que je considère comme l’esprit ultime des deux dernières décénies.
À putain, je suis trop heureuse, je ne trouve pas les mots.

OUI OUI OUI OUIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIOIOIOUOOIOIOIUIUUOUOUOUOUOU!!!

Sans blague, j’ai envi de pleurer de joie.


( En espérant éviter une autre tragédie à la Claude Dubois… )

Merci Christopher.

Cy : Je me fou même de Bertrand Cantat quand tu me donnes des nouvelles. (rajouté le 26 décembre 2007)

Saoule

Avec toi j'ai l'impression de vivre.
Chaque seconde.
Là, tu tournes la tête.
J'ai ce sentiment.
Curieux.
Être étudiée, examinée sous tous les angles.
Comment ne pas apprécier.
Savoir qu'aucun mot ni geste n'est inutile.
Enfin, j'avance, enfin.
Doucement, là, tout devient mot.
1+1+1+1= 5
Et toi.
Et toi.
Et toi.
Tu m’engourdis.

Saoule de réflexion et de bien d'autre chose je rentre chez moi en espérant que ce tourbillon ne cèsse jamais. Réfléchir, penser, être prend tout son sens. À chaqu'un ses dépendances.

CY : Peut-être que je suis une faible chose. Mais, j'avais besoin. Il me disait des trucs que je finissais par croire. As-tu déjà pensé ce que tu me disais? Tu ne me dis plus rien. Je ne sais plus quoi faire. Je me trouve ridicule. S'étourdir... Quelle connerie. Y'a plus de bonne direction. Plus de bon chemin. Capitaine, y'a plus de bateau... (rajouté le 26 décembre 2007)

Nouvelles couleurs

Et oui, j'ai changé de couleurs !

Marre du vert. MarreMarreMarre.

Marre de l'anglais aussi. Pourquoi, pourquoi suis-je une merde? MarreMarreMarre.

Je grogne comme un ours.



En parlant d'ours, je cherche Thomas dans la ville.
Thomas qui est un ami si doux.
J'aurais besoin de toi un peu.
Il n'y a que mon ourson qui sache me ralentir.


CY : Tu disais que tu aimais les filles qui portaient du vert. Je ne pouvais pas le supporter encore. Tu comprends? Tu n'est pas là. Je voudrais. (rajouté le 26 décembre 2007)

Fan en délire, réjouissez vous.6.

Nouvelle Nouvelles de votre TRIO Favori


-= Pour Savoir =-

Et oui! Hérésie est maintenant composée de trois filles complètement géniales ! Une certaine Léah Bellesfleurs fait maintenant partie intégrale de la clique!

Côté nouvelle composition, vous êtes gâtés : Nos Inavoué, Sur La Table et Une Valse Beaucoup Trop Longue avec Ma-Au au piano et Léah au violoncel! Du délire! Ajuste tes lunettes et Enfumée sont aussi deux nouvelles compos en construction. On travaille fort pour vous !


-= Pour Voir (Et entendre) =-

En ce moment nous travaillons très très fort, mais, c'est promis, nous vous préparons un show à tous casser !

Le 22 septembre, pour la journée sans voiture, nous serons dans la rue. C'est un rendez-vous!


-=Pour Avoir (entre les mains, et les oreilles) =-

Nous devrions enregistrer avant la fin de l'année scolaire !

Écrire vite vite avec du rythme ?

J’ai réfléchi trop fort
Et j’ai perdu les mots
Les mots que tu disais
Doucement à mon oreille
Et j’ai pleuré si fort
J’en suis devenue sourde
Sourde je n’entendrai plus
La douceur de tes mots

Les mots que tu disais
Toujours un peu trop fort
Je les entends encore
Je les entends encore
Et ils hantent mes rêves
Mes rêves sans parole
Je n'recommencerai plus
J’ai eu peur de te perdre


CY: Tu m'disais Je t'aime. Maintenant j'entends plus rien. Tu disais ça ne durera pas. Je m'en rappelle. (rajouté le 26 décembre 2007)

À la Nemo

1. Je suis frisée et fière de l'être.
2. Je suis myope et fière de l'être.
3. Je suis réfléchie et fière de l'être.
4. Je suis fière et fière de l'être
5. Ma crédibilité est affecté par mon apparence générale.
6. Décidément, j'ai un faible pour les intellos progressistes.
7. Je défends la protection du capybara.
8. Je suis nulle dans les contacts qui implique toucher ou me faire toucher par un autre être humain.
9. Je parle trop, je peut être chiante, mais j'ai vu pire.
10. Je voudrais vivre de mon écriture et je suis une sacrée rêveuses.
11. J'ai une tendance à l'agressivité et l'impulsivité.
12. Je suis brillante, ce qui ne m'enpêche pas d'être une conne.
13. Je devien folle de joie à la vue d'un croissant chaud ou au touché d'une couverture de coton froide.
14. Je suis incapable d'écouter un film jusqu'à la fin dans un lit, peu importe l'heure. (Et non, je n'en suis pas fière)
15. Comment prendre l'univers au sérieux quand on connaît l'existance des couvres-tosters?

Contrairement au dicton populaire qui dit; " Elle est conne, mais elle a un criss de beau cul", les filles munie de l'option cerveau ont la cote ! Bien sur l'admiration vouée à "l'être aimé" est indéniable (Ne froissont pas l'orgeuil de nos hommes), mais vous pouvez faire semblant. Le plus grand mystère de ma vie reste le charisme.

Le camp !

Et oui, le jour 1 du camp de la LIR c'est déroulé hier dans le plaisir et la nervosité. Bla bla bla
Je n'ai jamais vu autant de joueurs talentueux se toucher les orteilles en même temps. Bla bla bla
L'impro sur les mandarines m'a vraiment donné envie de manger de la cantaloup... J'y pense encore. bla bla bla
Une chose est sûre, la saison 2007-2008 de la LIR sera à tout casser ! Ha, oui !

La rumeur sprinte que je ferais le camp sans réelles intentions de faire partie d'une équipe.
Il est temps de mettre ça au clair. Je pense que je et sans jamais pourtant je garde il reste toujours et puis bien s'amuser.
Voila qui est dit.




Quelque heures plus tard.




Et oui, le jour 2 du camp de la LIR c'est déroulé tout à l'heure dans le plaisir et le plaisir. Bla bla bla
J'ai rarement touché autant de joueurs talentueux de si près. Bla bla bla
L'impro sur la vie du chanteur mort était top hilarante... Steeven à définitivement une voix d'enfer. bla bla bla
Une chose est sûre, la saison 2007-2008 de la LIR sera à tout casser ! Ha, oui !

La rumeur sprinte que je ferais le camp sans réelles intentions de faire partie d'une équipe.
Il est temps de mettre ça au clair. Je fais le camp pour m'amuser. Mission accomplie.
Voila qui est dit.


Ah, j'oubliais... Je suis maintenant une improvisatrice sudiste. See you later.



Un dessin par Aurélie et moi, d'Aurélie et moi... LES FILLES DU SUD !