dimanche 21 octobre 2007

Amours

Retour au départ.
Ce soir, je revis mes premiers amours… Thomas, Pierre-Nicolas.

Thomas et ces mille silences qui nous appartiennent toujours. Mes mille mots à moi. Cette douceur. Ce mal de ventre incessant. Cette douceur. Le départ. Cette douleur. Ce vide. Cette immensité. Thomas. Thomas. Thomas et ses grosses pattes d’ours maladroit. Thomas et ses sourires. Thomas comme du miel qui s’étant à l’infini. Toujours aussi bon. Si doux.

- Si nos chemins se recroisent, j’attendrai jusqu’à ce que tu parles.


Pierre-Nicolas et cette rage éphémère. Cette inconscience. Cette rapidité de tout. Ce désir de vivre toujours plus vite chaque seconde, et mieux. Ce désir de tout détruire pour tout reconstruire. Et ce désir… Qu’est-ce que ce désir? J’en veux encore. Cette destruction enragée. Engagé. P-N qui n’est qu’une explosion impossible à décrire. Une frustration de vivre. L’intensité. Cette brûlure. Le départ.

- Si tout s'écroule comme tu dit, et que le monde renaît de ses propres cendres. Je te retrouverai.


Et puis du plus honnêtement que je le peux.
- Nous ne voulons pas y croire, mais je voudrais que ça ne s’arrête jamais.

Tu es inclassable. Tu es désir, mais pas que ça. Tu es milles mots et milles silences. Tu es rage maladroite. Tu es inconsciente douceur. Tu es rage inconsciente et maladroite douceur. Tu es miel et sourires et brûlures et frustrations. Tu es le départ aussi, mais pas que ça. Tu es inclassable. Tu est toi. Tu es toi. Tu es bon. J’en veux encore.

CY: Mon AMm, quoi. (rajouté le 26 décembre 2007)

dimanche 14 octobre 2007

La vie c'est pas mal.


La vie c'est pas mal, même que vendredi j'ai changer de position dans la celle de plusieurs personnes. Je ne suis plus seulement observatrice, enfin. J'ai mon propre nom. Les hippies peuvent toujours me lècher les orteilles. Ha! En fait ce que je veux dire, c'est que ma situation à changer... J'ai passé de la petite jeune amie de Isa, à Zéa la fille qui sort dont n'sais où, mais qui a l'air asser dans son élément dans la vie... Enfin.

La vie c'est pas mal, même que samedi j'ai regardé quelque personnes de mon âge, le dégout en moins. Faut croire que le monde évolu, où c'est peut-être moi, mais c'est moins laid. C'est tout de même triste de voir ceux qui ne change pas et qui se complaise dans leur convention, mais bon. Putin, je m'en fou, il y a ce lait dopé qui me coule dans les veines et je me sens bien.
La fumé éloigne ce qui m'ennuie.


Joyeux demain Ismael.
Si je t'ai touché, tant mieux.
Je n'aurai pas pensé devenir une étincelle.

Tu salura ton arbre avant de partir.
Tu nous ramenera du chocolat Suisse.

N'oubli pas de sauter.

Ha Ismael, prend soin de toi.
Tu mérites tellement plus.


Pour ce qui est de toi Christopher, bin j'écris ton nom partout. Tu m'inspires rien de plus, mais c'est déjà énorme. À bientôt.

samedi 13 octobre 2007

jeudi 11 octobre 2007

Ton sommeil

C'est pas grave si on s'aime trop








Pour nous




C'est juste asser.

jeudi 4 octobre 2007

Octobre




Nous sommes seul au monde. Dans nos bulles immenses, nos silences opaques, nos ombres de réflexion. Dans cette façon de suspendre le temps, cette habitude de se laisser flotter, cette routine particulière de rien. Je croyais que mon monde était inaccessible alors que tu t’y glisse avec compréhension. Je te croyais inatteignable alors que je te fou parfois la frousse. Parce que tu as senti chez moi ce que je ne sais. Parce que j’ai vu chez toi ce qui n’as de mot. Et même si parfois tu te sauves en courant, et même si c’est toujours toi qui appelles, je suis là. Je suis là et je resterais toujours quelque pars, disponible. Tu dis que tu ne recherche rien, que tu ne me comprends pas, mais pendant que tu te défais pour moi, sache que je cherche sans cesse comment t’apporter du bien. Je commence à comprendre. Je t’observe et je t’aime mon ami. Je n’ai jamais été aussi forte qu’à tes côtés.


"""


Je t'observe et je t'aime mon ami. Je n'ai jamais été aussi forte qu'à tes côtés.
All the stars may shine bright
All the clouds may be white
But when you smile
Ohh how I feel so good
That I can hardly wait
Aujourd’hui, tu souris et j’ai peur de connaître la suite. D’où sors-tu d’être toujours à ma suite? Et même si parfois tu te sauves en courant, c’est toujours toi qui appelles. En attendant de te revoir, je bouffe mes doigts avec appétit. Je suis là et tu n’es pas bien loin pour l’instant. Qui connaît la suite? Ils finissent tous par partir. Moi j’aime pas comme dans les films. C’est mieux.

mercredi 3 octobre 2007

Fantasieland

Grandir... ou non?
Choisir... ou non?
Égocentrée dans mon Fantasieland, j'en oublie mon monde extérieur.
J'ai tout ce que je désire.
Je me fais inviter dans de délicieux endroits avec de la nourriture à n'en pleurer... mes potes musiciens. Le bonheur rien de plus. Vivre avec des gens qui nous aime. Si vous saviez…
Mais vous ne saurez jamais ce que c’est que d’être aimé.

Ce soir, je taperais bruyamment mes mots, peut-être toute la nuit, peut-être même jusqu’à demain. Et demain je dormirai, la tête dans les mains, des rêves pleins les yeux. Que demander de plus?