Ni complètement Geek, ni complètement Fille...
J'aime lancer des répliques cinglantes du répertoire des intellectuels chiants tout en portant du vernis à ongle.
J'aime jouer au Go avec mon amoureux.
Quand je suis seule à la maison, j'aime porter des talons hauts et un Hijab.
J'adore tabasser à mort les filles mal fringués dans GTA. (Et aussi voler des voitures pour écouter le poste électro.)
D'ailleurs, je fantasme grave sur Erlend Oye.
Vous avez dit honte?
lundi 26 mai 2008
samedi 24 mai 2008
Je ne réfléchis plus
Mon imaginaire est à fleur de peau. Depuis un moment, j’ai oublié qui j’étais. Je me laisse porter. Me laisse influencer. J’ai tellement mieux à faire que de tenir mes convictions. Je deviens un vivant. Puis un instant, je reprends conscience. Le monde s’arrête. Je suis transporté ailleurs. Je tiens mon cœur entre mes mains. Je ne le reconnais plus. Pas qu’il ait tant changé. Ses ailes battent toujours de cette étrange cadence. Non, seulement, je n’y porte plus attention depuis un moment. Mon imaginaire est à fleur de peau. Fragile, oublié. La nuit, je dors, ou mieux dans la plupart des cas. Je ne pense plus. Je ne suis plus?
Je joue à l’autruche depuis trop longtemps.
-Salut toi, je ne sais plus qui tu es. Dit moi comment tu aimes.
lundi 19 mai 2008
Ottawa.
Je ne sais pas vraiment ou je vais. Je te suis. Je ne sais pas vraiment où ça s'en va tout ça. Je m'en fou.
Je ne vois plus vraiment la distance. Je l'évite. Je ne vois plus vraiment le temps qui passe. Je le bouffe.
Faut pas se perdre dans les mêmes choses, les mêmes gens. Ça lasse. Faut pas attendre l'échéance du temps. Ça tue.
jeudi 15 mai 2008
mardi 13 mai 2008
dimanche 11 mai 2008
ATTENTION!!!
On ne dit plus petitezea...
On dit: mademoisellezea.blogspot.com
HA !
Sam- C'est quoi ces conneries?
Zéa- C'est pas mieux?
Sam- Le gris, le nom... Ton blog j'en ai rien à foutre. C'est quoi... ça.
Zéa - De la pluie...
Sam - ...
Zéa - Une conjonctivite...
Sam- Mon cul.
Zéa - Écoute, je suis une adulte maintenant. Fou moi la paix.
Sam - Tu sais ce que t'es??? Une sale voyageuse de merde... T'as pas honte?
Zéa - ... Non. Je suis sous le choc, c'est tout. J'assume.
Sam - Merci seigneur... Je déteste jouer à la bonne conscience...
Zéa - Heureusement, t'es plutôt nul.
On dit: mademoisellezea.blogspot.com
HA !
Sam- C'est quoi ces conneries?
Zéa- C'est pas mieux?
Sam- Le gris, le nom... Ton blog j'en ai rien à foutre. C'est quoi... ça.
Zéa - De la pluie...
Sam - ...
Zéa - Une conjonctivite...
Sam- Mon cul.
Zéa - Écoute, je suis une adulte maintenant. Fou moi la paix.
Sam - Tu sais ce que t'es??? Une sale voyageuse de merde... T'as pas honte?
Zéa - ... Non. Je suis sous le choc, c'est tout. J'assume.
Sam - Merci seigneur... Je déteste jouer à la bonne conscience...
Zéa - Heureusement, t'es plutôt nul.
mercredi 7 mai 2008
Alive and kicking
Pourquoi en se moment je danse dans mon salon, alive and kicking:
-J'ai finalement mon rendez-vous à la banque, chez le coiffeur, à la banque encore et à la gare.
-La crème molle de chez Martine est toujours aussi délicieuse.
-Mardi le 13, les manifestatio de Mai 68 ont 40 ans
-La terrasse du sens. Alexander & Sushi. Puis Renaud.
-Vendredi, c'est la nuit FLOAT. I need electro Again Again Again...
-J'ai reçu une carte postale :)
-Ottawa avec Capitaine Gabriel...
-ET Dee Cooper m'a écrit !!!!!!!!!!!
alive and kicking
Dee
.
-J'ai finalement mon rendez-vous à la banque, chez le coiffeur, à la banque encore et à la gare.
-La crème molle de chez Martine est toujours aussi délicieuse.
-Mardi le 13, les manifestatio de Mai 68 ont 40 ans
-La terrasse du sens. Alexander & Sushi. Puis Renaud.
-Vendredi, c'est la nuit FLOAT. I need electro Again Again Again...
-J'ai reçu une carte postale :)
-Ottawa avec Capitaine Gabriel...
-ET Dee Cooper m'a écrit !!!!!!!!!!!
alive and kicking
Dee
.
lundi 5 mai 2008
Vague Anxiété
Avant de péter un plomb, je vais ou je dois.
La neige, patiente sur le sable.
En monticules comme des ailes d'oiseaux morts.
Et de vrais oiseaux flottis flottant qui me montrent leur cul.
Le vent qui me gicle du soleil au visage.
Les brindilles qui roulent, plus bruyante que la ville.
Minable et ridicule comme une ville le jour.
Les arbres toujours nu et gris, la nue basse.
La trace de l'homme, ici, là, sous mes doigts.
La mer lourde qui goutte jusque dans l'oesophage.
Le temps
de
respirer
Et j'ai toujours le contrôle.
Allez voir se film trop Tzarible tourné et actiné par mes potes, même qu'on voit un malenky peu Capitaine et son personnage fétiche de "je suis pas certain, mais je crois que je vais te péter la gueule".
La neige, patiente sur le sable.
En monticules comme des ailes d'oiseaux morts.
Et de vrais oiseaux flottis flottant qui me montrent leur cul.
Le vent qui me gicle du soleil au visage.
Les brindilles qui roulent, plus bruyante que la ville.
Minable et ridicule comme une ville le jour.
Les arbres toujours nu et gris, la nue basse.
La trace de l'homme, ici, là, sous mes doigts.
La mer lourde qui goutte jusque dans l'oesophage.
Le temps
de
respirer
Et j'ai toujours le contrôle.
Allez voir se film trop Tzarible tourné et actiné par mes potes, même qu'on voit un malenky peu Capitaine et son personnage fétiche de "je suis pas certain, mais je crois que je vais te péter la gueule".
Possssitif
Pour la première fois depuis longtemps, j'ai eu un sentiment positif envers l'Angleterre.
De puis très longtemps.
Je me suis rappelé la vague fraîche de la liberté, qui vous rentre dedans sans prévenir. Je ne l'a ressentie que peu souvent. Une fois à Tadou sans doute. Ce n'est pas cette fébrilité glacé qui roule dans votre ventre ni l'excitation tout aussi douloureuse qui vous pogne au coeur et vous ramolli les jambe.
Non, c'est une vague fraîche qui vous enveloppe d'un seul trait. VLAM. Sourire. Retour à la réalité.
Que vient-il de se passer ? VLAM. ouf. Encore. Mmmm...
Quand tu te dis j'y suis, voilà.
Y'a personne pour moi, bien sûr.
Mais mieux encore, je suis pour personne.
De puis très longtemps.
Je me suis rappelé la vague fraîche de la liberté, qui vous rentre dedans sans prévenir. Je ne l'a ressentie que peu souvent. Une fois à Tadou sans doute. Ce n'est pas cette fébrilité glacé qui roule dans votre ventre ni l'excitation tout aussi douloureuse qui vous pogne au coeur et vous ramolli les jambe.
Non, c'est une vague fraîche qui vous enveloppe d'un seul trait. VLAM. Sourire. Retour à la réalité.
Que vient-il de se passer ? VLAM. ouf. Encore. Mmmm...
Quand tu te dis j'y suis, voilà.
Y'a personne pour moi, bien sûr.
Mais mieux encore, je suis pour personne.
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