Salut la coquine. Il semble que tout va pour toi. Le secondaire en arriere on est heureux? Et le party, finalement, plus de peur que de mal. Christo etait assez beau pour toi? Ici et en Autriche, l ecole se termine a la fin du mois seulement.
Je pedale pres du Danube depuis environ 1000km. Tout change. Les montagnes sont maintenant plus eloignees, les cygnes sont moins nombreux, il y a maintenant des sternes et des moettes. Il y a aussi des cigognes. Il y a un nid tout pres d ici sur un petit poteau electrique. Le petit, deja monstrueux, est bien visible et devrait tomber du nid bientot. Je commencais a lire l Allemand mais le slovaque, pas possible. Il manque de voyelles. Hier j etais a Brastislava, une belle ville mais bien occupe par une jeunesse frustree qui ne manque pas de cannettes de peintures. En quittant la capitale, le capital semble faire defaut. La pauvrete est plus evidente, les gens sont moins fiers que dans la capitale. Tout est mal entretenu par manque de sous probablement. Dans deux jours je prends quelques jours de pause de velo a Budapest. Si la route ne s ameliore pas je retourne faire du velo plus au nord ou j abandonne le velo pour esplorer le reste en train. Je ne sais pas, je vais voir en fonction de je ne sais quoi. Aujourd hui j ai rencontre un jeune a au moins 10 km de rien, assis dans le champ sur son enorme sac a dos, avec un livre dans les mains. Je ne l ai pas derange mais il m a fait penser a toi.
Finalement, sauf pour les gens chez qui j habite, j ai peu de contact avec les autochtones. Quand c est le cas, l echange se limite a de l information. Ils apprennent, comme nous, l anglais a l ecole. Alors, tu comprends, on repassera pour la profondeur.
J aime bien gouter a tout mais aujourd hui j ai mange la saucisse la plus degeulasse de ma carriere de glouton. Hostie, que du gras, j ai manque la vomir dans le stationnement du marche ou je l ai achete. J en avais deux, l autre est reste sur le banc de degustation. Pour le reste des experiences, je profite de l exercice pour gouter a toutes les patisseries disponibles.
Raconte ton party, j aime bien avoir de tes nouvelles et je me sens un peu coupable d avoir manque ce moment, semble-t-il tres important dans la vie d une post-ado.
Salut
jeudi 28 juin 2007
vendredi 22 juin 2007
JE SUIS UNE FILLE !
BOn ok, hier je ne m'en rap'lais pas...
BOn ok, je aucune idée de ce qu'on peut app'ler un avant-bal ( Le après-, ça va, j'ai compris )
BOn ok, je ne sais pas à quel heure arriver...
BOn ok, je n'ai pas de manucure, ni de pédicure, ni même de maquillage... Je ne suis pas aller chez l'esthéticienne et sincèrement... ça doit faire deux jours que je ne me suis pas lavée.
Mais il y a siiiiiii lontemps que je veux des atébas :)
Et voila, une nuit avec mes babass d'amour.
Le reste, rien à foutre...
Les chou fleurs c'est bon.
CY : Wais, les choux fleurs c'était un bon coup. ... (rajouté le 26 décembre 2007)
"Je crois qu'il est rendu un peu étrange... L'autre jour, il parlait de végétarisme... Je... Je crois qu'il mange des légumes..."
Citation de Papa Danny.
Trop la classe !!!
En parlant de Papa...
Luxembourg
Dinant
Liège
Huy
Mastrich
Axe-la-chapelle
Bruxelle
Bruge
Ruggesburg
Passain
Linz...
Vous'ètes pas jaloux ?
Moi oui.
Je l'aime mon papa.
C'est la plus grande claque au visage que j'ai reçu de ma vie.
Je suis vraiment fière de lui.
BOn ok, je aucune idée de ce qu'on peut app'ler un avant-bal ( Le après-, ça va, j'ai compris )
BOn ok, je ne sais pas à quel heure arriver...
BOn ok, je n'ai pas de manucure, ni de pédicure, ni même de maquillage... Je ne suis pas aller chez l'esthéticienne et sincèrement... ça doit faire deux jours que je ne me suis pas lavée.
Mais il y a siiiiiii lontemps que je veux des atébas :)
Et voila, une nuit avec mes babass d'amour.
Le reste, rien à foutre...
Les chou fleurs c'est bon.
CY : Wais, les choux fleurs c'était un bon coup. ... (rajouté le 26 décembre 2007)
"Je crois qu'il est rendu un peu étrange... L'autre jour, il parlait de végétarisme... Je... Je crois qu'il mange des légumes..."
Citation de Papa Danny.
Trop la classe !!!
En parlant de Papa...
Luxembourg
Dinant
Liège
Huy
Mastrich
Axe-la-chapelle
Bruxelle
Bruge
Ruggesburg
Passain
Linz...
Vous'ètes pas jaloux ?
Moi oui.
Je l'aime mon papa.
C'est la plus grande claque au visage que j'ai reçu de ma vie.
Je suis vraiment fière de lui.
mercredi 20 juin 2007
287
La coquette paniquarde
Le Matelot parla soudain, d'une voix tâtonnante qui se recomposait mot à mot en arrivant à l'oreille, épelant chaque son du bout de ses doigts glacés :
- ton contact est coupé, petit.
William Burroughs / Le festin nu / P. 287
La coquette paniquarde est en fait une fille qui cache sa tête dans les poubelles parce qu'elle est certaine que des poulets la poursuivent en train. Enfin... Ça ou des violeurs de femmes... Restez donc conscient de votre parano artificiel et laisser aux autres le soin de profiter de leurs vapes. Conseil numéro 2: manger de la tarte aux myrtilles. Une bouchée pour toi, une bouchée pour le singe qui te bouffe le dos, ça lui donne le poil luisant.
---
"une voix tâtonnante qui se recomposait mot à mot" C'est exactement ça. Tout est en blocs, décalé, désarticulé. Tout se tord, tout se craque, tout se cogne. Le temps lui même ce déplace, les minutes s'entre choques. La certitude d'exister au présent devient secondaire. Les choses perdent leurs couleurs. Tout se déplace, vibre. Les mains tremblent, et les bras, et tout le reste. Le coeur bat, trop fort. Partout. Dans toute la pièce et peut-être plus loin. Mais le pire, c'est cette musique qui intensifie l'impréssion de ce perdre soit même au profit d'une nouvelle conscience du monde. Quand il ne reste qu'une voix qui retient au réel vaut mieu s'y accrocher de toute ses forces. Ce singe sur votre dos est peut-être une pauvre âme qui n'est jamais revenu.
---
Peut-on connaître la came sans l'avoir porter en nous? Peut-on vraiment la connaître si on ne ce réveille d'un délire pas si vieu mais déjà si usé, ronger par l'essence même de notre seule amie (notre bonne vieille came), gris, anonyme, iréel. Peut-on connaître ce qu'on n'a pas vécu ?
((( Bien sûr je parle de toxicomanie, j'exlus donc ceux qui font usage du kif, de la marijuana ou de tout autre sous-produit de hachisch, de la mescaline, de l'ayahuasca ou Banisteria Caapi, de l'acide lysergique ou LSD 6, des champignons sacrés et de toutes les drogues hallucinogènes...
Il n'y a absolument rien pour prouver que ces stupéfiants créent un état de sujétion... ou ... de toxicomanie... C'est le zèle des brigade de stupéfiants ( Au État tout comme ailleur) qui a engendré la triste confusion de ces deux catégories de drogues. )))
Non, on ne peut pas. C'est un délire exclusif au camé. La plupart des survivants n'en garde même pas tout les détails.
Voila le sens de ses termes : Le festin nu
Cet instant pétrifié et glacé ou chacun peut voir ce qui est piqué au bout de chaque fourchette.
Enfin.
Je suis comme ça, vous n'avez pas fini d'en entendre parler..
Le Matelot parla soudain, d'une voix tâtonnante qui se recomposait mot à mot en arrivant à l'oreille, épelant chaque son du bout de ses doigts glacés :
- ton contact est coupé, petit.
William Burroughs / Le festin nu / P. 287
La coquette paniquarde est en fait une fille qui cache sa tête dans les poubelles parce qu'elle est certaine que des poulets la poursuivent en train. Enfin... Ça ou des violeurs de femmes... Restez donc conscient de votre parano artificiel et laisser aux autres le soin de profiter de leurs vapes. Conseil numéro 2: manger de la tarte aux myrtilles. Une bouchée pour toi, une bouchée pour le singe qui te bouffe le dos, ça lui donne le poil luisant.
---
"une voix tâtonnante qui se recomposait mot à mot" C'est exactement ça. Tout est en blocs, décalé, désarticulé. Tout se tord, tout se craque, tout se cogne. Le temps lui même ce déplace, les minutes s'entre choques. La certitude d'exister au présent devient secondaire. Les choses perdent leurs couleurs. Tout se déplace, vibre. Les mains tremblent, et les bras, et tout le reste. Le coeur bat, trop fort. Partout. Dans toute la pièce et peut-être plus loin. Mais le pire, c'est cette musique qui intensifie l'impréssion de ce perdre soit même au profit d'une nouvelle conscience du monde. Quand il ne reste qu'une voix qui retient au réel vaut mieu s'y accrocher de toute ses forces. Ce singe sur votre dos est peut-être une pauvre âme qui n'est jamais revenu.
---
Peut-on connaître la came sans l'avoir porter en nous? Peut-on vraiment la connaître si on ne ce réveille d'un délire pas si vieu mais déjà si usé, ronger par l'essence même de notre seule amie (notre bonne vieille came), gris, anonyme, iréel. Peut-on connaître ce qu'on n'a pas vécu ?
((( Bien sûr je parle de toxicomanie, j'exlus donc ceux qui font usage du kif, de la marijuana ou de tout autre sous-produit de hachisch, de la mescaline, de l'ayahuasca ou Banisteria Caapi, de l'acide lysergique ou LSD 6, des champignons sacrés et de toutes les drogues hallucinogènes...
Il n'y a absolument rien pour prouver que ces stupéfiants créent un état de sujétion... ou ... de toxicomanie... C'est le zèle des brigade de stupéfiants ( Au État tout comme ailleur) qui a engendré la triste confusion de ces deux catégories de drogues. )))
Non, on ne peut pas. C'est un délire exclusif au camé. La plupart des survivants n'en garde même pas tout les détails.
Voila le sens de ses termes : Le festin nu
Cet instant pétrifié et glacé ou chacun peut voir ce qui est piqué au bout de chaque fourchette.
Enfin.
Je suis comme ça, vous n'avez pas fini d'en entendre parler..
mardi 19 juin 2007
Une valse beaucoup trop longue
Je marche seule
Donc silencieuse
Et seul mes pieds
Donne le tond
Inutile de
rentrer chez moi
Je s’rais aussi
Toute seule là-bas
C’est seulement
Quand on est seul
Qu’on r’marque que le
Trottoir est laid
Et dans la rue
Marchez tête basse
Vous verrez comme
Le monde est gris
C’est une valse longue
Qui se danse seule
Dans votre salon
Ou dans la rue
C’est une valse
Dont les paroles
Ce lisent lent’ment
Merci
J’retrouve mon bordel
Habituel
Et les cailloux
Sur lesquelles je jette mes rêves
J’aime la solitude
Quand je l’attends
Je suis triste ce soir
C’est surprenant
C’est une valse longue
Qui se danse seule
Dans votre salon
Ou dans la rue
C’est une valse
Dont les paroles
Ce lisent lent’ment
Merci
C’est comme quand l’on
Veux dire merci
Mais tous ce qui vient
C’est une larme
C’est comme quand l’on
Veux dire revient
Mais tous ce qui vient
C’est un sourire
Dans les deux cas
On s’sent perdu
On rentre chez nous
Déçu
Et moi ce soir
Comme je suis seule
J’en profite pour
Danser
C’est une valse longue
Qui se danse seule
Dans votre salon
Ou dans la rue
C’est une valse
Dont les paroles
Ce lisent lent’ment
Merci
CY : C'est toi. C'est moi. C'est mes erreurs, les tiennes. Notre histoire. (rajouté le 26 décembre 2007)
Donc silencieuse
Et seul mes pieds
Donne le tond
Inutile de
rentrer chez moi
Je s’rais aussi
Toute seule là-bas
C’est seulement
Quand on est seul
Qu’on r’marque que le
Trottoir est laid
Et dans la rue
Marchez tête basse
Vous verrez comme
Le monde est gris
C’est une valse longue
Qui se danse seule
Dans votre salon
Ou dans la rue
C’est une valse
Dont les paroles
Ce lisent lent’ment
Merci
J’retrouve mon bordel
Habituel
Et les cailloux
Sur lesquelles je jette mes rêves
J’aime la solitude
Quand je l’attends
Je suis triste ce soir
C’est surprenant
C’est une valse longue
Qui se danse seule
Dans votre salon
Ou dans la rue
C’est une valse
Dont les paroles
Ce lisent lent’ment
Merci
C’est comme quand l’on
Veux dire merci
Mais tous ce qui vient
C’est une larme
C’est comme quand l’on
Veux dire revient
Mais tous ce qui vient
C’est un sourire
Dans les deux cas
On s’sent perdu
On rentre chez nous
Déçu
Et moi ce soir
Comme je suis seule
J’en profite pour
Danser
C’est une valse longue
Qui se danse seule
Dans votre salon
Ou dans la rue
C’est une valse
Dont les paroles
Ce lisent lent’ment
Merci
CY : C'est toi. C'est moi. C'est mes erreurs, les tiennes. Notre histoire. (rajouté le 26 décembre 2007)
lundi 18 juin 2007
Mille et un mots, en pieds
Modiver échaper, pratique technique
Il y avait un moment déjà.
Il y a des enfants si encrés dans leur innocence qu’il n’en sorte jamais.
Déjà jeune, j’ai fait le choix de ne prendre comme crayon que le tracé de mes rêves, improvisés.
Je suis la cadence, inimitable, de mes mots prétentieux.
Entendez-vous mon cœur qui bat derrière mes phrases?
Suivez les pieds, c’est le battement d’une rage.
LM ( 6 à 6, 5,4 )
Les mésanges et les vagues
Elles attendent le monde
Ou les mots se mélangent
Modifier pour l’amour
Mais l’attente, elle est longue
Et ces mots langoureux
Lasseront les lâches
Bien avant eux
Vitacro ( à 6 )
J’ai goûté à la rage
Comme quand bête sauvage
Plante ses canines longues
Dans la chair innocente
Et par mon indolence
J’ai créé ma revanche
La bête qui croyait prendre
À vite dû se défendre
Quand bête tombe amoureuse
Alors rien ne l’arrête
Elle repart, doit revenir
Moi je me paie sa tête
Wais je vous emmerde ...
Wais je vous emmerde ...
Je vole avec les corbeaux
Je baille avec les corneilles
Je me dis des animeaux
Ou des humains c'est pareil
Xavier Caféïne (les corbeaux)
Il y avait un moment déjà.
Il y a des enfants si encrés dans leur innocence qu’il n’en sorte jamais.
Déjà jeune, j’ai fait le choix de ne prendre comme crayon que le tracé de mes rêves, improvisés.
Je suis la cadence, inimitable, de mes mots prétentieux.
Entendez-vous mon cœur qui bat derrière mes phrases?
Suivez les pieds, c’est le battement d’une rage.
LM ( 6 à 6, 5,4 )
Les mésanges et les vagues
Elles attendent le monde
Ou les mots se mélangent
Modifier pour l’amour
Mais l’attente, elle est longue
Et ces mots langoureux
Lasseront les lâches
Bien avant eux
Vitacro ( à 6 )
J’ai goûté à la rage
Comme quand bête sauvage
Plante ses canines longues
Dans la chair innocente
Et par mon indolence
J’ai créé ma revanche
La bête qui croyait prendre
À vite dû se défendre
Quand bête tombe amoureuse
Alors rien ne l’arrête
Elle repart, doit revenir
Moi je me paie sa tête
Wais je vous emmerde ...
Wais je vous emmerde ...
Je vole avec les corbeaux
Je baille avec les corneilles
Je me dis des animeaux
Ou des humains c'est pareil
Xavier Caféïne (les corbeaux)
jeudi 14 juin 2007
lundi 11 juin 2007
Sur les trace d'un manifestant ...hahah
Sur lefigaro.fr...
Les autorités s'inquiètent de la résurgence de groupes extrémistes auxquels elles attribuent la série d'actions criminelles de ces dernières semaines.
De source policière, un millier de militants français de la gauche radicale, dont une centaine de « casseurs », ont fait le voyage en Allemagne pour y prendre part aux protestations contre le G8. À Paris, les services de renseignement s'intéressent aux agissements de cette mouvance.
« CETTE POIGNÉE d'ultras nous rappellent de mauvais souvenirs : dans les années 1970, les « autonomes » ont commencé par des actions similaires et cela s'est terminé par des bombes et des assassinats. » Selon ce policier, la surveillance des groupes violents d'extrême gauche est redevenue une « priorité opérationnelle » pour les renseignements généraux alors que la police judiciaire est saisie de plusieurs dossiers liés à cette mouvance.
http://www.lefigaro.fr/france/20070608.FIG000000006_l_extreme_gauche_radicale_tentee_par_la_violence.html
Ha lala...
Sans commentaire.
Les autorités s'inquiètent de la résurgence de groupes extrémistes auxquels elles attribuent la série d'actions criminelles de ces dernières semaines.
De source policière, un millier de militants français de la gauche radicale, dont une centaine de « casseurs », ont fait le voyage en Allemagne pour y prendre part aux protestations contre le G8. À Paris, les services de renseignement s'intéressent aux agissements de cette mouvance.
« CETTE POIGNÉE d'ultras nous rappellent de mauvais souvenirs : dans les années 1970, les « autonomes » ont commencé par des actions similaires et cela s'est terminé par des bombes et des assassinats. » Selon ce policier, la surveillance des groupes violents d'extrême gauche est redevenue une « priorité opérationnelle » pour les renseignements généraux alors que la police judiciaire est saisie de plusieurs dossiers liés à cette mouvance.
http://www.lefigaro.fr/france/20070608.FIG000000006_l_extreme_gauche_radicale_tentee_par_la_violence.html
Ha lala...
Sans commentaire.
dimanche 10 juin 2007
10 juin le commencement
Moi et une autre entité.
Nous nous réveillons tranquillement profitant des dernières vibes de nos rêves, seule vraie connexion avec le réel.
Déjeuner en plein air, question de prendre contact avec Gaïa mère.
Pain et fromage en crème. Café pour Ja et Eau pour moi.
Puis, on bouge un peu.
Quelque substance chimique. c'est parti pour l'aventure.
Jupe longue et brune, vert, gris et multiples foulard...
Signe du destin, une vente de garage!
Nous sortons de la cours trois cd de plus en main.
The doors, genesis et gipsy kings! Le bonheur!
Arrêt obligé au Baguettes en l'air, ficelle, pain fourré au chocolat, à la pâte d'amende et au gruyère. Un véritable délice.
Question d'être sympa je passe au club ciné pour rendre le film Full Métal Jacket réalisé en 1987 par Stanley Kuprick né le 26 juillet 1928 à New York dans le quartier du Bronx d'une famille juive américaine originaire d'Europe centrale...
Enfin... Je crois...
Je croise Isa qui travaille, une fille avec beaucoup de culture qui tripe pink floyd et cinéma... Mon intuition légendaire ( Proche de la perception surnaturelle ) et le fait que je la connais depuis mon plus jeune âge m'incite à lui offrir du pain qu'elle accepte avec joie. (Le corps de Jésus)
Puis nous allons nous même manger pied nus près d'une oeuvre de caravane sérail ... et une oeuvre de mère nature, la mer...
Quelques photos... et hop! de retour chez moi!
C'était une vraiment cool blague de... Hippy !
Longue en plus.
samedi 9 juin 2007
Nouveau message pour une raison obscure
Leucoselophobie.
Vers blanc, Vers libre, verset, Enjambement, Allitération,
Épicurisme, Nihilisme et Probabilisme.
(Des trucs biens)
Ok, je sais, je n’ai pas vraiment de sens. C’est bon signe. Ça appelle à une belle période d’écriture. Vive les papillons de nuit beiges gras et secs!
Vers blanc, Vers libre, verset, Enjambement, Allitération,
Épicurisme, Nihilisme et Probabilisme.
(Des trucs biens)
Ok, je sais, je n’ai pas vraiment de sens. C’est bon signe. Ça appelle à une belle période d’écriture. Vive les papillons de nuit beiges gras et secs!
lundi 4 juin 2007
Un article dans lequel je ne parle pas de Sarko
C'est ma robe
J'écris parce que je l'ai toujours fait, parce que l'odeur de l'encens m'inspire, parce que j'aime avoir des crampes dans le bras à force d'étaler des mots, parce que.
J'ai parfois tendance à vivre dans mon petit monde. Mésange, putréfaction, chocolat, clowns sadiques, musique,thé, écriture,fumée, dessins... Rage et Révolution. Amms.
Le printemps est déjà terminé... J'ai oublié mes résolutions, j'ai oublié d'en profiter.
J'ai m'y Kerouac et Burrought de côté pour les comités. Pour en faire plus que j'aurais voulu. Pour tasser l'écriture et périodiquement oublier ma passion.
J'ai bien fait mon travail jusqu'à maintenant. Et ce sera bientôt terminée.
La fin approche, comme tout le reste.
Je suis une finissante, je suis une sortante. Comme les autres.
Dire que l'année prochaine je serai enterrée de lettres...
En attendant il y a la musique pour me tenir en vie. Le dessin. Et ceux que j'aime.
Ceux que je n'aime pas me font vivre aussi.
Cette été sera pour moi. Parce que j'ai donné mon printemps.
Musique ,clown ,maman, voyageurs, ... et bizou.
Je vais écrire aussi. Wais.
Je vais peut-être même me trouver une vrai machine à écrire. Wais.
On verra...
(J'ai un nouveau shirt que m'a ramené ma maman... Il est simpa)
"Tu roules vers le sud quand le froid te menace
La nature, les saisons, c'est la vie qui se passe
Avide de liberté, c'est votre identité
Les roulottes sont passées, les chiens ont aboyé"
Tzigane Tzigane / Bérurier Noir
J'écris parce que je l'ai toujours fait, parce que l'odeur de l'encens m'inspire, parce que j'aime avoir des crampes dans le bras à force d'étaler des mots, parce que.
J'ai parfois tendance à vivre dans mon petit monde. Mésange, putréfaction, chocolat, clowns sadiques, musique,thé, écriture,fumée, dessins... Rage et Révolution. Amms.
Le printemps est déjà terminé... J'ai oublié mes résolutions, j'ai oublié d'en profiter.
J'ai m'y Kerouac et Burrought de côté pour les comités. Pour en faire plus que j'aurais voulu. Pour tasser l'écriture et périodiquement oublier ma passion.
J'ai bien fait mon travail jusqu'à maintenant. Et ce sera bientôt terminée.
La fin approche, comme tout le reste.
Je suis une finissante, je suis une sortante. Comme les autres.
Dire que l'année prochaine je serai enterrée de lettres...
En attendant il y a la musique pour me tenir en vie. Le dessin. Et ceux que j'aime.
Ceux que je n'aime pas me font vivre aussi.
Cette été sera pour moi. Parce que j'ai donné mon printemps.
Musique ,clown ,maman, voyageurs, ... et bizou.
Je vais écrire aussi. Wais.
Je vais peut-être même me trouver une vrai machine à écrire. Wais.
On verra...
(J'ai un nouveau shirt que m'a ramené ma maman... Il est simpa)
"Tu roules vers le sud quand le froid te menace
La nature, les saisons, c'est la vie qui se passe
Avide de liberté, c'est votre identité
Les roulottes sont passées, les chiens ont aboyé"
Tzigane Tzigane / Bérurier Noir
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