Je tourne le coin. Bien entendu, je ne vois rien. En juin, tout se serait passé autrement, mais nous sommes l'hiver maintenant. Dans mon nuage de bué froide, je me fraie un chemin vers les toilettes. Ho! ... Un obstacle... Un grand obstacle...
- Désolé, je ne t'avais pas vu.
Alors l'obstacle me souris. Bien entendu, il m'a reconnu, il me voit toujours le premier. D'ailleurs, en parlant de voir...Moi je ne vois absolument rien, spécial myopie, bué, sourire éblouissant en combo s'il vous plait, merci.
Je mets tout ce que je possède de charmant (Publique G) sur le pilote automatique question de pouvoir laisser la discussion pour reprendre mes esprits. Pendant que je réfléchis, je m'entends blablater comme une cruche (capitaine la pilote automatique présente des défauts). Il est là, devant moi, quelque minute avant que j'aille dire a un vieux pote que son nom me fait vomir. Je l'avais oublié, il est réapparu. Je le croyais reparti, alors qu'il est de retour. Je pensais que, mais j'avais tort. J'étais, mais il y a lui. Il est là. Et je n'entends plus que cette phrase.
- Je suis seul.
Tu as tout compris sans savoir.
Bon retour parmis nous mon ami.
Belles citations du jour:
Renaud - Cette fille à l'air d'un ange, mais... quand on apprend à la connaître... taaaaas...
Louis - Sérieux je ne t'aurais pas cru comme ça... Tu dis des choses... vraiment saaaaalllllleeeeees...
Conclusion : Tabarnouche!
mardi 4 décembre 2007
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