Pot-pourri du 10 Janvier
(Et je ne parle pas de moi qui possède, selon ce faux-poête-peintre-ridiculement-artiste une odeur de Jasmin et de sexe feminin. Comme quoi on se fait dire bien des trucs au cours d'une vie)
Le vieux laid
***
Il habitait la maison, on l’eu préféré dans la grange
Son animosité vulgaire dérangeant
Il semblait échoué d’un monde étrange
Ou l’on sifflote des conchonstés à l’oreille des enfants
***
Il avait une lacune, là ici, dans le réservoir
Rien n’a faire contre le foutu filet de salive
J’ai essayé pourtant avec un mouchoir
Et j’ai été punis d’une façon plus que hâtive
***
Échantillon représentatif
***
Bin quoi ?
C’est quoi ce regard ?
Et puis, d’où tu sors ?
Attends où tu vas ?
Là, tu me crées un vide, mais un de ses vides dont mes poumons ne savent que faire. Et même cette sacrée fumée bleue et cette lumière lactée au bout de mes doigts ne pourra m’emplir et…
Que dis-tu ?
J’entends rien. J’entends rien.
***
Débauche vagabonde
***
Je ne veux pas d’orgueil et puis plus de limites
Avez-vous vu comme nous sommes ridicules
Et les pédés qui nous jugent sans aucun scrupule
Qu’ils nous pendent ou qu’ils nous décapitent
***
Morphée est un cocu
***
Et sans savoir pourquoi
Tu te plais à mes cernes
Laide, oui, mais pas trop sage
Que t’as dis à tes potes
***
Il n’y a qu’a tes morsures
Quand palpite mon sang
Que je peux dire : bien, tiens…
Me voilà donc en vie
Le garde-robe de cèdre
***
Les femelles sont grasses car elles se mangent entre elles
Elles deviennent alors une denrée des plus rares
Que se dispute les mâles d’une façon bien virile
On dirait des limaces dans une grosse flaque de merde
Elles exhibent un sexe, là, au milieu de leur front
Il y coule sans cesse du pus noirâtre.
Et les soirs sans lune, les mâles reluquent la chose
Ils y plantent leur langue rude, Recueillant la substance
***
Sans la musique de Ma-Au et M-L c'est nul bien sûr et ça me fait penser à ses extrais de théâtre qui passent à la téloche. Wais vous savez, ses trucs dégoutants qui crient, qui suent leur maquillage et qui font des envolés géniales dont on n'a rien à foutre puisqu'on connais rien de l'histoire. Tout pour vous dégouter. C'est comme mettre du PFK sur la chaine d'un vélo rouillé ( Un bel effort inutile quoi! ) ... Heureusement, j'écoute pas la télévision.
vendredi 11 janvier 2008
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3 commentaires:
C'est de quel auteur ?
C'est de moi. C'est un peu pour ça aussi que je ne mets que des extrais.
Je m'en veut d'avoir manqué ça.
Je m'en veut d'avoir manqué ça.
La prochaine fois(s'il y en a une) j'y serai, avec ma pancarte et ma crecelle, dans la première rangée!
xox kaki
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