mardi 1 avril 2008

.

Comme on dit :

Journée de merde.

Match de merde.

Nuit de merde.


(Avec comme exeption ma petit plante mauve que j'adore et que j'ai transplanté pour la première fois dans la terre. Un deuxième disque de Erlend Oye dans mes étagères. Les balles de neige lancées à ma fenêtre.)

Wake up at midnight.
To hear the rain.
La lumière d'une lampe.
Sur le lit.
Sinon rien.
La tête dans la main.
Elle irait où de toute façon.
So I turn the music on.
And I turn it off.
Fixer la sueur du mur.
Attendre.
I have thought of you.
All the street signs.
Spell out your name.
Ne pas y penser.
Ne pas y penser.
Ne pas y penser.
You will meet me here.

Quand je me confond dans les gris les plus sombre de la ruelle
Levant les yeux devant ce tas de branches dorées qui se tordent sous le lampadaire
Laissant le vent lacérer tous ce qui me reste de visage
à quoi me servirait encore un nom...
Je me déteste Comment faire pire...
Je me déteste d'écrire des choses aussi futilement dramatique que "confondre, sombre, tordre, lacérer"

3 commentaires:

Caro a dit...

On en a tous de comme ça...j'espere que demain sera meilleur..!

bisou

Caro a dit...

En vrai, si j'étais choquée, jpas sur c ca que ca me tenterais qu'on me réponde alors...jvais faire une prise deux...

CALISS, non mais ça fait chier les jours de même...
Non d'une poule
xxx

Zéa a dit...

Je sais pas ce que j'ai.
Mais je fais attention sur le trottoir.
J'ai des hallucinations violente.