La vie sous pression de la production.
Je suis présentement à mi-chemin de mon cours de Prod1. Papillon mon ami se solidifie, prend sa forme, s'installe dans ma routine en grugeant sur mon hygiène personnelle (C'est une façon de parler, n'en parlons plus). L'obsession se développe à mesure de demi pages. L'inspiration, je la trouve entre un manuel d'infirmière en psychiatrie, un recueil de Bukowski, une toile de Bacon, des citations de William S. Burrough, Sade ou Arthaud, un livre de témoignage de deux droguées vraiment nase et I'm not there, que je me tape en boucle le plus souvent possible. Son évolution est palpable, la mienne, non, je suis sur un plateau d'inspiration; un avant blocage, un neutre absolu. Pire, à force de contourner les clichés, je tombe dans le non-sens. Heureusement, Robert est la pour me remonter le morale avec ses combinaisons.
Le petit Robert est mon deuxième meilleur amant.
D'ailleurs, parlant d'amant, d'ex-amant, d'ex-plus-qu'amant, d'ex-presqu'amant et tout le tralala...
Ils refont surface bouf, bouf, bouf ou plouf.
-Bien le bonjour, voilà ce que je deviens, j'espère que ça vous plait.
L'un regrette, l'autre est d'une façon marante dans la même situation qu'un moi, d'autre ne sont pas au courant, d'autre plus que moi....
Et l'un se fait mettre à la porte par ma faute... Enfin.
Quoique j'ai un abonné, je suis moins ici, vous aussi, c'était mon effort.
lundi 27 octobre 2008
mardi 14 octobre 2008
L'echo
Une falaise, de gros rochers, des roches, de la gravèle, des cailloux.
Sur ce terrain immence, les montagnes se succèdent. En gradation.
J'entendais siffler les pierres près de mes oreilles, j'étais au centre de l'échos, petite. Toi, tu étais en haut. Tu laissais tomber des trucs. Tellement loin, que mon doigt te dépassait d'une tête.
À cache-cache tu me surprends, réapparais derrière moi, quelque part sur ses milles étages de pierres où je me perds.
Si tu déposes ta tête sur ma robe d'automne, c'est que plus tard, dans une nappe de soleil, nous dormirons ensemble.
J'ai tant courru, j'ai tant grimper. Si je sombre seule, je pourrai me perdre. Si on plonge ensemble, je ne me retiendrai même pas.
Sur ce terrain immence, les montagnes se succèdent. En gradation.
J'entendais siffler les pierres près de mes oreilles, j'étais au centre de l'échos, petite. Toi, tu étais en haut. Tu laissais tomber des trucs. Tellement loin, que mon doigt te dépassait d'une tête.
À cache-cache tu me surprends, réapparais derrière moi, quelque part sur ses milles étages de pierres où je me perds.
Si tu déposes ta tête sur ma robe d'automne, c'est que plus tard, dans une nappe de soleil, nous dormirons ensemble.
J'ai tant courru, j'ai tant grimper. Si je sombre seule, je pourrai me perdre. Si on plonge ensemble, je ne me retiendrai même pas.
vendredi 10 octobre 2008
Mi-Sessssion
Enfin.?.
La vie devant soi, vies cruelles, mort à crédit. La philosophie dans le boudoir, éthique à l'usage de mon fils.
Le tout en cinq jour mon amour.
Comme dirait le pauvre mec perdu dans le Café G de l'UQAM, on étudie pas en littérature pour s'imprégner du capitalisme à tout les jours.
Comme dirait la cokée de chez Vénus, faut pas penser à son avenir.
(À bien y penser, Andréane aurait dit la même chose.)
Ha, oui, bonne fête Andréane.
Sinon, wais, c'est peut-être bien sympa vouloir toucher l'homme jusque dans les tripes, mais avec ce texte de marde à apprendre par coeur, la job de marde et le gravage de marde, la bile chaude et acide prend le bord.
La marde reste elle, au moins, si c'est pas le feu, vaut quand même mieux avoir quelque chose au cul.
Comme dirais Sade, c'est une façon si délicieuse d'éviter de se faire engrosser.
Comme dirait Gary ou Ajar, j'ai continué à chier par principe mais se n'était pas une vie.
Ha, et en parlant d'amour. Il est ou le mien?
-T'es don'bin rendu Emo !!!
- Hein ?
- Bin, tu t'asumes disons...
- Pfff..
La vie devant soi, vies cruelles, mort à crédit. La philosophie dans le boudoir, éthique à l'usage de mon fils.
Le tout en cinq jour mon amour.
Comme dirait le pauvre mec perdu dans le Café G de l'UQAM, on étudie pas en littérature pour s'imprégner du capitalisme à tout les jours.
Comme dirait la cokée de chez Vénus, faut pas penser à son avenir.
(À bien y penser, Andréane aurait dit la même chose.)
Ha, oui, bonne fête Andréane.
Sinon, wais, c'est peut-être bien sympa vouloir toucher l'homme jusque dans les tripes, mais avec ce texte de marde à apprendre par coeur, la job de marde et le gravage de marde, la bile chaude et acide prend le bord.
La marde reste elle, au moins, si c'est pas le feu, vaut quand même mieux avoir quelque chose au cul.
Comme dirais Sade, c'est une façon si délicieuse d'éviter de se faire engrosser.
Comme dirait Gary ou Ajar, j'ai continué à chier par principe mais se n'était pas une vie.
Ha, et en parlant d'amour. Il est ou le mien?
-T'es don'bin rendu Emo !!!
- Hein ?
- Bin, tu t'asumes disons...
- Pfff..
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