Je manque délicieusement de sommeil et mon état se manifeste par d’étrange moyen. Habituellement, je ne ressens pas la fatigue. Je me mets à avoir froid.
Cette semaine, les symptômes sont étranges, vivement une relâche.
Trouble numéro un :
Lundi matin, sous la douche, je me mets à saigner du nez. Sans raison apparente.
Comme d’habitude, ça me fait bien rire. Saigner du nez, je sais pas, j’ai toujours trouvé ça con.
Trouble numéro deux :
Incapable de me concentrer sur plus de deux chose à la fois (Vaut mieux Deux Ok que 30 Tu l’feras), je déside de marcher et de lire.
Une fois dans l’école, le changement de température me fait craindre pour l’état de mon nez. (Je ne suis pas nombriliste... peut-être neziste?) Vérification : tout est à sa place, le sang dans mon nez, mon nez sur mon visage, alouette.
Je regarde le pauvre livre dans mes mains imaginant son propriétaire, dégouté par le sang sur les pages, me dire que finalement du Georges Orwell c’est peut-être trop compliqué pour moi.
Naturellement je me mets à rigoler comme un vieux clown seul.
Je l’écris et ça me trouble toujours.
Faut dire que j’ai toujours pas dormi.
Trouble numéro Trois :
Mardi mon nez se manifeste de nouveau, cette fois pour une raison plus obscure.
J’ai encore pété un plomb.
Trouble numéro quatre :
En logique toute Zéaenne, je décide qu’une marche, un match et un rouleau de thé me feront du bien.
Ja-e me fait du bien. Je ne me brûle pas les cheveux. (Fierté)
Seulement voilà. Le thé et la fatigue on beau me mettre dans un état fantastique, je ne suis pas particulièrement à mon meilleur question conversation.
Coup de chance (?) , je croise le propriétaire du livre propre. (Le livre, Christopher et moi aussi)
HAHAHAAHAHHAAHAhahahahaHHAAHAHaha…
Bon.. hum.
Je suis par contre un peu triste à voir. Cernée jusqu’à terre, je sens la vieille camée et je suis incapable de finir une phrase sans ricaner ou glousser.
J’ai honte, mais je suis heureuse.
C’est moi ou je ne fais que rigoler ?
C'est quoi une détresse psychologique ?
Le petit livre rouge... à cause d'un nez ?
Et... Zedong ou Tsé-Toung ?
CY : Il semble qu'en fait, c'est l'amour qui fait saigner du nez... Quoique... ce peut être le manque de sommeil aussi. Ce sera presque du pareil au même bientôt. (rajouté le 26 décembre 2007)
mercredi 28 février 2007
lundi 26 février 2007
Esthétisme bulle isolement… Et grand-maman.
J’ai toujours quelques difficultés à expliquer mes idées clairement. J’ai toujours tendance à mettre en mots mon cœur plutôt que ma tête. Ne m’en voulez pas trop.
Karkwa,, des sons crachés pour moi comme pour d’autre, au présent. Un autre monde. Une espèce de rage de douceur tactile. Un air lourd et mousseux à l’oreille, tout à fait enveloppant. Une histoire esthétique en lumière. Recherché, Inspiré, Recraché.
Seulement, il y problème. Déjà à la deuxième note, je rentre dans une bulle, pas énorme, mais très opaque. Ja s’inquiet, je suis désolée pour elle, je n’ai même pas le partage de m’excuser, de lui dire d’abandonner parce que moi-même je ne m’atteins plus.
Je m’excuse, j’ai toujours quelques difficultés à expliquer mes idées clairement. De plus, je n’en ressens pas l’utilité.
Le lendemain, j’ai du travail. Par curiosité, j’ouvre Le Livre. Zut. Je m’isole indolemment de la société. Je suis en retard dans tous mes cours. Je rends visite à mes deux grand-mère.
Vous adoreriez ma grand-mère paternelle. Ses histoires sont lucides et passionnantes et elle ricane comme une gamine en nous avouant qu’elle grignote du chocolat en cachette dans sa chambre.
Vous seriez mal à l’aise avec ma grand-mère maternelle. Elle vit dans le genre de foyer où l’on entasse les vieux périmés. C’est ça ou de l’acide sulfurique au visage. Vu des fenêtres? Le cimetière. Et c’est le genre de truc qui me fait rire. Excusez moi.
Vous seriez mal à l’aise parce qu’elle ne parle pas. Bien pire encore, elle essaie. De toutes ses forces elle se concentre, mais les mots ne forme pas les phrases auxquelles elle pense.
Je crois être la seule qui peut communiquer avec elle. Mes parents n’écoute que les mots, les infirmières que les docteurs.
Hier elle m’a dit qu’elle allait mourir, comme pour que je me fasse à l’idée. Son ex-voisin de chambre est mort et ça lui importe peu. Au moins elle ne l’entant plus râler. Ils l’ont changé de chambre pour qu’elle soit mieux, elle s’en moque, ce n’est pas parce qu’elle ne voit plus le cimetière qu’elle ne sait plus qu’il est là. Et c’est le genre de truc qui la fait rire.
Je t’aime grand-maman.
CY : Ce spectacle, ce livre... Ma bulle c'est toi. C'est tout. (rajouté le 26 décembre 2007)
Karkwa,, des sons crachés pour moi comme pour d’autre, au présent. Un autre monde. Une espèce de rage de douceur tactile. Un air lourd et mousseux à l’oreille, tout à fait enveloppant. Une histoire esthétique en lumière. Recherché, Inspiré, Recraché.
Seulement, il y problème. Déjà à la deuxième note, je rentre dans une bulle, pas énorme, mais très opaque. Ja s’inquiet, je suis désolée pour elle, je n’ai même pas le partage de m’excuser, de lui dire d’abandonner parce que moi-même je ne m’atteins plus.
Je m’excuse, j’ai toujours quelques difficultés à expliquer mes idées clairement. De plus, je n’en ressens pas l’utilité.
Le lendemain, j’ai du travail. Par curiosité, j’ouvre Le Livre. Zut. Je m’isole indolemment de la société. Je suis en retard dans tous mes cours. Je rends visite à mes deux grand-mère.
Vous adoreriez ma grand-mère paternelle. Ses histoires sont lucides et passionnantes et elle ricane comme une gamine en nous avouant qu’elle grignote du chocolat en cachette dans sa chambre.
Vous seriez mal à l’aise avec ma grand-mère maternelle. Elle vit dans le genre de foyer où l’on entasse les vieux périmés. C’est ça ou de l’acide sulfurique au visage. Vu des fenêtres? Le cimetière. Et c’est le genre de truc qui me fait rire. Excusez moi.
Vous seriez mal à l’aise parce qu’elle ne parle pas. Bien pire encore, elle essaie. De toutes ses forces elle se concentre, mais les mots ne forme pas les phrases auxquelles elle pense.
Je crois être la seule qui peut communiquer avec elle. Mes parents n’écoute que les mots, les infirmières que les docteurs.
Hier elle m’a dit qu’elle allait mourir, comme pour que je me fasse à l’idée. Son ex-voisin de chambre est mort et ça lui importe peu. Au moins elle ne l’entant plus râler. Ils l’ont changé de chambre pour qu’elle soit mieux, elle s’en moque, ce n’est pas parce qu’elle ne voit plus le cimetière qu’elle ne sait plus qu’il est là. Et c’est le genre de truc qui la fait rire.
Je t’aime grand-maman.
CY : Ce spectacle, ce livre... Ma bulle c'est toi. C'est tout. (rajouté le 26 décembre 2007)
vendredi 23 février 2007
jeudi 22 février 2007
Théatre, soleil et Corée
L'Ours, comédie en un acte.
Tchekhov, vieux con pessimiste, tente d'être drôle, et, bien entendu, il réussit à la perfection. Reste à voir si on va assurer.
Ce soir donc, je mets mon fameux T-shirt noir... La tradition persiste ...
Travail de table... oui on peut dire. Jocelyn n'est pas dans la salle alors on est tous les deux debout sur les pauvres tables de l'oasis à jouer à s'engueuler. Jouer avec Jérôme est un véritable délice, on forme un super duo.
Jérôme déclare une pose couché-de-soleil impossible à refuser. (Il me surprendra toujours)
On reprend jusqu'au baisé qui n'est pas encore défini... Jocelyn s'oppose, nous on s'en fou... Enfin...
Il veut m'embrasser, mais... hoho ! Je la ne connais pas moi sa copine ! ... Si elle est aussi forte que Jérôme, je risque de me transformer en la plus sadique murale de l'école. Non merci.
On débat sur les limites entre sensuel et érotique et érotique et sexuel puis on parle de Pierre-Nicolas qu'est partie et de sa copine qu'est là... de sa romantique stabilité de tough et de la complexité de ma simplicité. Nous sommes deux drôle de personnage.
Jocelyn nous à sans doute oublié, il n'est plus dans l'école... Bon... Aller hop ! ...
Bonus
Pour mon propre plaisir.
- 안녕 !
- Au revoir oui ...
- 가요 ?
- Non toi plutôt, fait de l'air.
- 구누세요 ?
C'est moi. Laisse moi rentrer.
- 누구요 ?
- Zéa Merde !
- 아... 네 ... 들어오세요...
- Garde tes sucs gastriques dans ton estomac s'il te plait.
-ㅇ서 오세요.
- ...
- 커피 드시겠어요?
- Pour être honnête, je préfère le thé.
- 아... 설탕 넝으세요 ?
- À la Marocaine ? Miam.. Merci.
- 그 지또을 영 만났어요 ?
- Eu... Tu prononce drôlement sont nom, mais je suppose que oui. (Putin de Merde, jusqu'en Corée... C'est la meilleure)
- 착년에 알았어요. 다팡에서 만났어요.
- Ah...va chier, Écoute tu m'emmerde là. Je te laisse mon thé.
- 안녕히 가세요 !
Morale de la conversation.
Les coréens sont patient
Faites confiance au thé Marocain.
Certaine personnes sont connu partout dans le monde et ça peut faire chier.
...
Tchekhov, vieux con pessimiste, tente d'être drôle, et, bien entendu, il réussit à la perfection. Reste à voir si on va assurer.
Ce soir donc, je mets mon fameux T-shirt noir... La tradition persiste ...
Travail de table... oui on peut dire. Jocelyn n'est pas dans la salle alors on est tous les deux debout sur les pauvres tables de l'oasis à jouer à s'engueuler. Jouer avec Jérôme est un véritable délice, on forme un super duo.
Jérôme déclare une pose couché-de-soleil impossible à refuser. (Il me surprendra toujours)
On reprend jusqu'au baisé qui n'est pas encore défini... Jocelyn s'oppose, nous on s'en fou... Enfin...
Il veut m'embrasser, mais... hoho ! Je la ne connais pas moi sa copine ! ... Si elle est aussi forte que Jérôme, je risque de me transformer en la plus sadique murale de l'école. Non merci.
On débat sur les limites entre sensuel et érotique et érotique et sexuel puis on parle de Pierre-Nicolas qu'est partie et de sa copine qu'est là... de sa romantique stabilité de tough et de la complexité de ma simplicité. Nous sommes deux drôle de personnage.
Jocelyn nous à sans doute oublié, il n'est plus dans l'école... Bon... Aller hop ! ...
Bonus
Pour mon propre plaisir.
- 안녕 !
- Au revoir oui ...
- 가요 ?
- Non toi plutôt, fait de l'air.
- 구누세요 ?
C'est moi. Laisse moi rentrer.
- 누구요 ?
- Zéa Merde !
- 아... 네 ... 들어오세요...
- Garde tes sucs gastriques dans ton estomac s'il te plait.
-ㅇ서 오세요.
- ...
- 커피 드시겠어요?
- Pour être honnête, je préfère le thé.
- 아... 설탕 넝으세요 ?
- À la Marocaine ? Miam.. Merci.
- 그 지또을 영 만났어요 ?
- Eu... Tu prononce drôlement sont nom, mais je suppose que oui. (Putin de Merde, jusqu'en Corée... C'est la meilleure)
- 착년에 알았어요. 다팡에서 만났어요.
- Ah...va chier, Écoute tu m'emmerde là. Je te laisse mon thé.
- 안녕히 가세요 !
Morale de la conversation.
Les coréens sont patient
Faites confiance au thé Marocain.
Certaine personnes sont connu partout dans le monde et ça peut faire chier.
...
mercredi 21 février 2007
Cultures et Gels
Cultures.
Si vous êtes des lève-tôt et que vous rêvez de vous foutre de la tronche d'une "Sale Hyppie" , vous pouvez toujours trippoter les boutons de votre radio demain matin (22 février 7H4?). Émilie (L'intellectuelle ratée) et moi-même devrions postillonner quelques mots sur "Jeunes de Mondes" et "Cultures à Partager".
La mission de la formation Cultures à partager:
- Recueillir au Québec des produits culturels et éducatifs, principalement des livres, des manuels scolaires et des périodiques.
- Expédier et distribuer ces produits culturels dans les pays en développement de la francophonie.
(Bon c'est pas tout, mais disons que c'est ça qui est le plus pertinent...Vous êtes déçu parce que Cultures à partager ben... Ça parle de livre? Ça me l'a fait à moi aussi au début.)
De 1997 à 2005 l'organisme à envoyé à plusieurs reprises des livres dans les pays que je vous nommerais joyeusement en désordre alphabétique. Vous pouvez chanter.
Angola, Haïti, Bénin, République Centrafricaine, Burkina Faso, États-Unis, République de guinée, République démocratique du Congo, Maroc, Madagascar, Cameroun, Togo, Sénégal, Maine, Niger, Liban, Algérie, Louisiane, Tanzanie, Lesotho, et Argentine.
Total de livre expédiés : 637 274.
N'applaudissez pas, vous êtes toujours devant votre écran d'ordinateur.
Gels
Ce soir, c'était la manif contre le dégel des frais de scolarité...
On se les gèle pour le gel. ( Les orteils ... AOutChe)
C'est un peu triste par contre parce que d'un bord comme de l'autre ce son ceux qui ont le moins de chose à dire qui parle...
C'est bien beau de rêver à la gratuité scolaire, mais quand t'a pas d'argument...
( En voici un bon)
-Un vieux Con- Mais quels sont vos arguments !
-un jeune Con- Ben Sté lé frè de scolarité lâ... Bin on veu ke sa diminuss. (...)
(Et oui, le mec faisait même des fautes d'orthographe en parlant... Ça donne le goût de lui commanditer ses cours)
Les bons arguments eux, sont murmurés en silence et là encore, ça fait un peu perroquet. Dommage...
Mon slogan ?
Augmentons les frais, mais les bourses également !
Et à la prochaine manif, amenez plus de vêtements !
Si vous êtes des lève-tôt et que vous rêvez de vous foutre de la tronche d'une "Sale Hyppie" , vous pouvez toujours trippoter les boutons de votre radio demain matin (22 février 7H4?). Émilie (L'intellectuelle ratée) et moi-même devrions postillonner quelques mots sur "Jeunes de Mondes" et "Cultures à Partager".
La mission de la formation Cultures à partager:
- Recueillir au Québec des produits culturels et éducatifs, principalement des livres, des manuels scolaires et des périodiques.
- Expédier et distribuer ces produits culturels dans les pays en développement de la francophonie.
(Bon c'est pas tout, mais disons que c'est ça qui est le plus pertinent...Vous êtes déçu parce que Cultures à partager ben... Ça parle de livre? Ça me l'a fait à moi aussi au début.)
De 1997 à 2005 l'organisme à envoyé à plusieurs reprises des livres dans les pays que je vous nommerais joyeusement en désordre alphabétique. Vous pouvez chanter.
Angola, Haïti, Bénin, République Centrafricaine, Burkina Faso, États-Unis, République de guinée, République démocratique du Congo, Maroc, Madagascar, Cameroun, Togo, Sénégal, Maine, Niger, Liban, Algérie, Louisiane, Tanzanie, Lesotho, et Argentine.
Total de livre expédiés : 637 274.
N'applaudissez pas, vous êtes toujours devant votre écran d'ordinateur.
Gels
Ce soir, c'était la manif contre le dégel des frais de scolarité...
On se les gèle pour le gel. ( Les orteils ... AOutChe)
C'est un peu triste par contre parce que d'un bord comme de l'autre ce son ceux qui ont le moins de chose à dire qui parle...
C'est bien beau de rêver à la gratuité scolaire, mais quand t'a pas d'argument...
( En voici un bon)
-Un vieux Con- Mais quels sont vos arguments !
-un jeune Con- Ben Sté lé frè de scolarité lâ... Bin on veu ke sa diminuss. (...)
(Et oui, le mec faisait même des fautes d'orthographe en parlant... Ça donne le goût de lui commanditer ses cours)
Les bons arguments eux, sont murmurés en silence et là encore, ça fait un peu perroquet. Dommage...
Mon slogan ?
Augmentons les frais, mais les bourses également !
Et à la prochaine manif, amenez plus de vêtements !
mardi 20 février 2007
Péter les plombs... ( modifié )
Souvenir poche du premier matin de Zéa... Ha !
Parce qu'on ma posé la question. Ha !
Zoé est une fillette.
Ce matin là (oui, lui), j'en ai eu marre de faire semblant, de me cacher, de me faire piller sur les pieds parce que j'étais jeune, j'était sage, j'étais serviable, j'étais raisonnable, (Quésako?)
Comme tout les matins je me suis réveillé toute seule sans cadran à 5:59. J'ai vu que Catherine bavait sur son oreiller et sa m'a fait rire. J'ai envoyé chier Julie tout bas, remercié soeur monique de ne pas être là pour la première fois de mon histoire du camp, puis je me suis rendormi.
On n'est pas venu me réveiller pour la simple et bonne raison qu'on m'a oublier. ( Oui, relisez la dernière phrase. C'est trop triste )
J'ai réglé mon cadran biologique à l'heure du déjeuner. Je prendrais congé ce matin là.
...
Je n'ai eu aucun commentaire sur ce matin étrange.
Ce matin ou Soeur Monique n'était pas la, ce qui nous donnait une multitude de possibilité non-exploitées.
Ce matin ou les campeurs cherchaient leur bibliothécaire préférée (J'aime les enfants) parce qu'elle c'est levé trop tard et tout le monde s'en foutaient.
Ce matin ou j'envoyais promener ce camp de merde abordant fièrement mon chandail des Sex pistols, cette tuque affreuse du noël des campeurs, ce pyjama hawaïen d'un orange particulièrement désagréable et mes bas beiges beaucoup trop long/ grand/ gros.
Ce matin ou je bouffais de la pizza froide volée assise en indien en plein milieu de la cuisine.
Ce matin ou je gueulait du Jean Leloup parce que le camp est à pleurer.
Ce matin ou les gens pensait que je pétais un plomp, ce qui était vrai.
Le camp Basley c'est d'la Marde ! (Comme dirait le délicat David)
Je refais mon Cv et on ce voie cette été.
:)
Sniff sniff ...
Qu'est-ce que ça sent ? Ça serait pas de la vengeance ?
Vive les chose entre parenthèse ( Oui! J'aime ça )
Parce qu'on ma posé la question. Ha !
Zoé est une fillette.
Ce matin là (oui, lui), j'en ai eu marre de faire semblant, de me cacher, de me faire piller sur les pieds parce que j'étais jeune, j'était sage, j'étais serviable, j'étais raisonnable, (Quésako?)
Comme tout les matins je me suis réveillé toute seule sans cadran à 5:59. J'ai vu que Catherine bavait sur son oreiller et sa m'a fait rire. J'ai envoyé chier Julie tout bas, remercié soeur monique de ne pas être là pour la première fois de mon histoire du camp, puis je me suis rendormi.
On n'est pas venu me réveiller pour la simple et bonne raison qu'on m'a oublier. ( Oui, relisez la dernière phrase. C'est trop triste )
J'ai réglé mon cadran biologique à l'heure du déjeuner. Je prendrais congé ce matin là.
...
Je n'ai eu aucun commentaire sur ce matin étrange.
Ce matin ou Soeur Monique n'était pas la, ce qui nous donnait une multitude de possibilité non-exploitées.
Ce matin ou les campeurs cherchaient leur bibliothécaire préférée (J'aime les enfants) parce qu'elle c'est levé trop tard et tout le monde s'en foutaient.
Ce matin ou j'envoyais promener ce camp de merde abordant fièrement mon chandail des Sex pistols, cette tuque affreuse du noël des campeurs, ce pyjama hawaïen d'un orange particulièrement désagréable et mes bas beiges beaucoup trop long/ grand/ gros.
Ce matin ou je bouffais de la pizza froide volée assise en indien en plein milieu de la cuisine.
Ce matin ou je gueulait du Jean Leloup parce que le camp est à pleurer.
Ce matin ou les gens pensait que je pétais un plomp, ce qui était vrai.
Le camp Basley c'est d'la Marde ! (Comme dirait le délicat David)
Je refais mon Cv et on ce voie cette été.
:)
Sniff sniff ...
Qu'est-ce que ça sent ? Ça serait pas de la vengeance ?
Vive les chose entre parenthèse ( Oui! J'aime ça )
lundi 19 février 2007
Comme une Diarée Verbale.
J'ai peu voyager. J'ai peu vécu. J'ai peu de chose à raconter.
Et pourtant.
J'ai besoin d'alligner des mots. Peu importe le sens, je m'en fou. Comme un peu de tout.
...
À tout dire, je parlerais de rage...
Des mots de janvier :
((( Si tu voyait le monde à travers mes yeux, un instant. Tu saurais comprendre , en fait, comme le monde est beau. Comme on reste en vie à ce nourrir de hasard, à s'abreuver d'histoire qui on une fin parfois, parfois non.
Avide de délice, tard dans la nuit, dans les racines de la révolte, s'entrelacent des gens qui ont compris. Ils sont beaux. Ils s'aiment, puis ils s'oublient parfois, parfois non.
Si tout s'écroule comme tu dit, et que le monde renaît de ses propres cendres. Je te retrouverai. )))
Parce que c'est ça la rage en fait. C'est ce qu'on écrivait. C'est ce qu'on chantait. C'est ce qu'on vivait.
Quand un rageur tombe sur un rageur, ça explose.
Je suis une partie de son histoire, comme il n'est qu'une partie de la mienne.
Je ne veux rien de plus. Nous avons tous pris ce que nous avions. D'un seul coup.
On ne s'aimait pas. Du moins, pas comme dans les livres. Mais, merde qu'on s'aimait.
Parce que c'est ça la rage en fait. C'est deux pôles semblable. C'est une inspiration. C'est les conventions que l'on crache aux pieds gens à qui on appartient. C'est crier "Je t'aime" sans le penser et éclater de rire.
...
Le printemps arrive, la neige va fondre. Redonner la place aux traces de tes pas, indélébile.
Ha Pierre-Nicolas, si tu savais ce qui m'arrive maintenant, tu te fouterais de ma gueule.
J'ai peur de moi alors, tu vois, maintenant...
Ha... Maintenant ...
Le jus de canneberge me laisse indifférente,
Je cours près du fleuve
Et le mot voyageur reprend tout son sens.
Et pourtant.
J'ai besoin d'alligner des mots. Peu importe le sens, je m'en fou. Comme un peu de tout.
...
À tout dire, je parlerais de rage...
Des mots de janvier :
((( Si tu voyait le monde à travers mes yeux, un instant. Tu saurais comprendre , en fait, comme le monde est beau. Comme on reste en vie à ce nourrir de hasard, à s'abreuver d'histoire qui on une fin parfois, parfois non.
Avide de délice, tard dans la nuit, dans les racines de la révolte, s'entrelacent des gens qui ont compris. Ils sont beaux. Ils s'aiment, puis ils s'oublient parfois, parfois non.
Si tout s'écroule comme tu dit, et que le monde renaît de ses propres cendres. Je te retrouverai. )))
Parce que c'est ça la rage en fait. C'est ce qu'on écrivait. C'est ce qu'on chantait. C'est ce qu'on vivait.
Quand un rageur tombe sur un rageur, ça explose.
Je suis une partie de son histoire, comme il n'est qu'une partie de la mienne.
Je ne veux rien de plus. Nous avons tous pris ce que nous avions. D'un seul coup.
On ne s'aimait pas. Du moins, pas comme dans les livres. Mais, merde qu'on s'aimait.
Parce que c'est ça la rage en fait. C'est deux pôles semblable. C'est une inspiration. C'est les conventions que l'on crache aux pieds gens à qui on appartient. C'est crier "Je t'aime" sans le penser et éclater de rire.
...
Le printemps arrive, la neige va fondre. Redonner la place aux traces de tes pas, indélébile.
Ha Pierre-Nicolas, si tu savais ce qui m'arrive maintenant, tu te fouterais de ma gueule.
J'ai peur de moi alors, tu vois, maintenant...
Ha... Maintenant ...
Le jus de canneberge me laisse indifférente,
Je cours près du fleuve
Et le mot voyageur reprend tout son sens.
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