lundi 27 octobre 2008

Quoique j'ai un abonné

La vie sous pression de la production.

Je suis présentement à mi-chemin de mon cours de Prod1. Papillon mon ami se solidifie, prend sa forme, s'installe dans ma routine en grugeant sur mon hygiène personnelle (C'est une façon de parler, n'en parlons plus). L'obsession se développe à mesure de demi pages. L'inspiration, je la trouve entre un manuel d'infirmière en psychiatrie, un recueil de Bukowski, une toile de Bacon, des citations de William S. Burrough, Sade ou Arthaud, un livre de témoignage de deux droguées vraiment nase et I'm not there, que je me tape en boucle le plus souvent possible. Son évolution est palpable, la mienne, non, je suis sur un plateau d'inspiration; un avant blocage, un neutre absolu. Pire, à force de contourner les clichés, je tombe dans le non-sens. Heureusement, Robert est la pour me remonter le morale avec ses combinaisons.

Le petit Robert est mon deuxième meilleur amant.

D'ailleurs, parlant d'amant, d'ex-amant, d'ex-plus-qu'amant, d'ex-presqu'amant et tout le tralala...
Ils refont surface bouf, bouf, bouf ou plouf.

-Bien le bonjour, voilà ce que je deviens, j'espère que ça vous plait.

L'un regrette, l'autre est d'une façon marante dans la même situation qu'un moi, d'autre ne sont pas au courant, d'autre plus que moi....
Et l'un se fait mettre à la porte par ma faute... Enfin.


Quoique j'ai un abonné, je suis moins ici, vous aussi, c'était mon effort.

1 commentaire:

jaleanho a dit...

Alors, une petite pensée pour ton troisième meilleur amant, ma belle nicotine?