dimanche 29 avril 2007

Le genre de truc qui me passe par la tete quand je lèche avidement les tablettes d'audition

Monsieur je ne sais pas si vous pouvez m’aider, mais essayer quand même un peu. C’est que je cherche un Cd. Disons un Cd d’Alternatif… Bon, je sais, c’est assez large. Je crois quand même que tant qu’à demander un CD alternatif vaut mieux le demander à vous plutôt que semer l’incompréhension et perturber les pauvres ustensiles de Fanny. Oui… Donc je cherche un cd. J’ai pas envi de quelque chose de comique. Je dis ça comme ça. Chercher quelque chose de comique, je choisirais sûrement Adam Green… Mais…non. Donc, quelque chose de sérieux, mais quand même pas Sigur Ross, non. Je veux un truc qui est un peu plus vivant. Je sais pas moi, eu… Non, je ne sais pas. Nirvana, vous savez, c’est vivant… Radiohead, c’est un réel délice… Mais je ne veux pas un truc trop connu. D’ailleurs, je voudrais bien un truc que je ne connais pas… Ha! Ça pourrait bien être de l’électronique. Vous avez Erlend Oye ? Ha et puis oublier ça. De un, je le connais, c’est un nerd top cool avec d’étranges lunettes. Roux, le mec. De deux, vaux mieux un alternatif que deux tu l’auras ton électronique. Je vous connais ici. Vous ne les avez pas les électro. Bon, passons.
Donc je disais, sérieux… Assez vivant… Ça peut paraître con, mais Grandaddy ça pourrait être assez vivant pour moi, finalement. En fait, je voudrais bien Grandaddy, je veux dire… Je pourrais être satisfaite… Musicalement parlant. Oui. En fait, je voudrais peut-être quelque chose de plus ressent. Ne m’achaler pas avec Arcade Fire. C’est bon, je sais. Je l’ai gravé, c’est mal. J’en ai assez entendu parler maintenant. Je crois qu’Arctic Monkeys serait assez… enfin… Je veux dire… C’est Alternatif, c’est pas trop comique, c’est pas trop sérieux, c’est vivant, je connais pas vraiment et le nouveau cd est was out april 24 … But… Je sais pas trop si c’est une valeur sûre. Excuser mon insécurité. Voyez-vous, j’ai vraiment envi de me gâter, parce que j’ai passé une fin de semaine terrible… Mais si je suis déçu… Non, c’est pas le temps d’être déçu… vous comprenez? Ne vous inquiétez pas. Pas trop terrible comme fin de semaine. Plutôt le genre de fin de semaine CV, travail et bénévolat dont tu sors à peine et tu te dis : Je crois que j’ai besoin de me gâter, je vais aller embêter un vendeur d’audition. Merci de votre aide je crois que j’reviendrais. Je me sens si mieux déjà.

vendredi 27 avril 2007

J'ai pas fumé.

Et puis la quoi, c'est pas des b;agues. le départ.
Vous comprennez, lr univers c'est fini pour mes potes, ils foutent le camps chez eux, ou ailleur.
Je ne peut pas tous les saluer les mordre, dison seulement oui.
Cérielle au revoir et Sophie et puis Marthe et Puis audrey... Et Laurence je sais pas.
Et puis jEan-Seb et sa bièrre et Oli que j'ai même pas salué... et Seb qui reste puis Antoine et Julien ?
Mais surtout ya Thomas qui décolle
J'ai envi de pleurer dans mon oreiller
J'ai pas trouvé ses bolas
Et on a même pas danser

Ya Thomas
Qu'on était pote
dans nos silences
Et puis plus loin
Il l'apprendra
son importance
Il la prendra
Son importance
à mes yeux humides
Qu'on perdu un ourson
Qu'on perdu un grand frère
Le plus doux
Des pas assez amis

Aurevoir Thomas,
J'te fait la bise
On ce revera
Et nos histoires
Ne commencerons
Que dans le regard des gens
Qui écoutent ahuries
les silences souriants
Comme dit Raph
On n'est jeune
On se recroisera
C'est comme ça les voyageurs
C'est ce que j'ai apri
Ils sont tous passé par là.



-J_S : Ha ! Ça fait de la bouffe et ça donne l'heure, c'est tout ce que je cherche... Vous avez l'heure les filles ?
-Zéa : Non, mais je sais faire la bouffe.
-Marthe: Je vais la bouffe et j'ai l'heure aussi...
-Mathe et Zéa : Tout s'ki faut pour attirer un homme !!!
-J_S : Wais !
-Marthe : T'en fait pas, on va te trouver une montre Zéa..
-Zéa: ha.. moi ça va.. Quoi que maintenant que j'y pense... Si il tombe sur une belle blonde qui fait la bouffe, mais qui a l'heure aussi...
-Marthe et Zéa : on te/me trouve une montre dès demain !
-J_S : Wais !
( dire qu'au départ, on parlait micro-onde. )

...


J'ai une devinette pour vous :

Je suis le chef de L'armée des 25 Français et sans moi Paris est pris...
Qui suis-je ?
( Y'a un prix pour le gagnant ou la gagnante... Mhouarfe )

En passant, Bonne fête Plume, et jamais deux tartes à la crème sans trois, mais la troisième, elle est pour toi. Pauvre Sophie, ça lui apprendra à faire du gâteau.

jeudi 26 avril 2007

Etre cool ou ne pas etre cool, là es la question...

En fait, la véritable question est plutôt : Qu’est-ce qu’être cool?
Laissez-moi vous éclairer un minimum…

- Porter des bottes à l’eau : pas cool.
- Avoir les pieds mouillé dans des pumas derniers cris : cool.
En général tout tourne autour de ces deux aspects.

Question de ne pas trop faciliter la vie aux adeptes de la « coolitude », quelques règles capitales ont été mises sur pied…

1. Une chose cool n’existe que par comparaison avec les autres.
Concrètement, c’est donc l’existence des bottes à l’eau qui rend les Pumas cool, et vise versa.

2. Il faut se battre pour être plus rapide que le mouvement.
Ce qui est cool un jour ne l’est pas toujours (Jetez un œil aux coiffures des années 80). Les pumas finiront bien par se faire dépasser par une autre marque, les bottes à l’eau resteront nulles, telle est leur triste destin.

3. Chasser le cool, il revient au gallo.
Tout n’est pas que conformisme griffé et opium des masse populaire. Être cool est d’abords et avant tout faire ce que les autres ne font pas. Qui s’est délibérément opposée aux masses, en portant des bottes à l’eau pas exemple, devient un rebelle, un type non conforme, un héros anarchique. Mais pas pour longtemps.

Morale de cette histoire,

- Porter des bottes à l’eau : Cool
- Avoir les pieds mouillé dans des pumas derniers cris : pas cool

Voilà, déjà je n’y comprend plus rien.


Conclusion
Le cool est l’un des principaux moteurs de l’économie moderne. C’est tout.
En attendant, saviez-vous que marcher pieds nus, c’est bon pour la santé ?

lundi 23 avril 2007

Dernier Délire avant le retour de Zéa comme on l'aime ou du moins comme on fait semblant et pas cette fille tellement fille à laquel on s'abitue, Déçu



HAHA... Quelle non-pertinence!


Maintenant que j'ai réusi avec brio à devenir ce que je déteste, je peu revenir à moi. Houra. Houra, pour moi.
Profitez-en pour me proposer des truc, comme par exemble, bouquer ma fin de semaine comme Émilie à réussi à le faire en moins de 30 sec.
En passant, si votre fantasme ultime est de faire du bénévola avec moi, je me cherche VRAIMENT quelqu'un pour samedi de 1 à 5 ...




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Et toi, petite mésange,
tu dois t'envoler, je sais
Pour voyager, former tes propres idées
Tu n'as plus très longtemps à y rêver
Tu es déjà partie

On sait tous se qui t'attend
On n'a qu'a te parler de voyages,
Des pays qui t'attendent
Que tu es déjà partie
Des constellations plein les yeux
sautillant de hâte

Je crois avoir trouvé comment
tu tiens debout

Ma-Au

Mots choisie d'une sacrée Touriste 4


Je ne suis pas saoul premièrement, imaginer un singe qui vous grimpe dans le dos. La fille s’appelle Trinidad. Houlala. Ils ont oublié la question importante. Si je mange du sable, qui me prendra pour une vache brûlée ? Les gens se prennent pour des toasts, il se font griller. C’est vrai que le pain, c’est bon caramélisé, mais parfois. De toute façon, depuis le temps, tout le monde s’en fou que je ne me fasse pas brûler. Je me couche en petit pain et attends. À l’ombre. Les gens genre masculin ont des étoiles sous les bras et les femmes ont parfois les seins nus. Ça alors.Que reste-t-il qui leur appartiens vraiment. Leur poumon noir, puant, sont depuis longtemps bouchés, brûlé par cette fumé consommé. Pendant que je m’entretiens dans mon ivresse, un de mes pieds brûle. Je le regarde partir en fumer. C’est fini. Je m’étant à l’ombre. Les gens ce plaindrons, je m’en fou. Je ferais le désert d’Alaska avant celui du Sahara et tant pi. Cette fille veut-elle me voler mon maillot ? D’où je suis, je vois tout les bleu de cuba. Et les gens sont jaloux. Dieu est une fillette. Aller vous faire foutre. Je me moque du citron à froufrou devant moi. D’ailleurs, qui ce souci de cette horreur. Les gens veulent voir l’horreur, mais ils ne s’en souci jamais. La décadence est réelle. Et seule la vérité a un sens pour tous ceux qui ont un travail nul. Comme à Paris, c’est comme ça d’où je viens aussi.

dimanche 22 avril 2007

Mots choisie d'une sacrée Touriste 3

La jonglerie comme langage universel :

Trois Espagnol style punk de rue qui font je ne sais quoi sur cette foutue plage laide.
En fait, moi aussi à choisir, je la préfère à toute les autres. Donc.
Les autres plongent. Je profite du vent.
Le quatrième rebelle, un jeune chien sale et arrogant est tout aussi chouette. Il s’amuse à attirer mon attention et me fait tourner la tête vers ses maîtres qui s’amuse avec des quilles.
Zéa le clown explose dans mes chevilles et monte et brûle et voilà. Je suis une implosion.
Je fais un clin d’œil au chien, cherche trois roches plutôt rondes, et hop!
Le mec au Mowack me lance un cri (je me retourne) et ses quilles.
Avec le vent, pas facile. Marrant, oui…
Pendant que la fille semble se moquer assez vulgairement de mes essais infructueux, je sens que je suis au bon endroit. ( Sentiment assez rare sinon quasi inexistant)
Puis c’est séance de balles, retour aux roches, aux balles, aux sandales, aux roches.
Trois méchants et une enfant. Le lien est tout de même fait.

Morales de cette histoire :
- J’aime les méchants punks Espagnols.
- Vent et jonglerie, triste réalité.
- Jonglerie, langage universel

Mots choisie d'une sacrée Touriste 2

La Havane:
Juste avant de retourner dans l'autobus, il y a ce garçon. Tête de rasta, noir chocolat ... À quoi il joue? Il joue doucement. Il s’est choisi un coin à l’ombre et à l’écart surtout, pour gratter ses cordes. Il quémande la paix seulement, je le comprends. Me voit, me salut. Je lui réponds. Un triste échange. Deux personnes dans ce monde, si différentes. Dans sa nonchalance de vie, honnête, il vit dans un autre monde. Voisin du mien.

Chocolat vanille
Doux espoir caché
Garçon et fille
Au destin tracé

Échange un regard
Solitude avoué
Sur briques et trottoirs
Ou temps on passé

La voyageuse et
Le prisonnier
Du pays sont
lié

Mots choisie d'une sacrée Touriste

L’aéroport :
J’ai rarement eu l’occasion d’avoir sous les yeux une foule de gens aussi laids. Des blancs, des bronzés et des visages de coup de soleil. Des ridés, des fripés et des siliconés. Des doubles, des triples et des quadruple mentons. Poils aux oreilles, aux orteils, aux nez. Moustaches et lunettes de soleil. Sans parler des jeunes adolescents rebelles, troublés et à la recherche de leur personnalité.
Des gens qui parlent, qui mangent en parlant ou qui lisent le journal, la bouche ouverte.
Devant moi, un peu à gauche, une vieille dame peigne le peu de cheveux de son mari. Je suppose qu’elle aura les mêmes gestes affectueux le jour de son exposition funéraire…Enfin, peu importe.

Heureusement que Tia Sylvie et Mama Niel sont là. L’aéroport à de quoi nous remonter l’égo au Max, à toute les trois. Reste à voir si on passe au douane avec une tête deux fois grosse comme un ballon de basket.




NB : Ne jamais prononcer le mot bombe devant le personnel du contrôle des bagages. J’ai essayé, c’est pas si drôle. Si j’étais vous j’éviterais même d’y penser.

Et à la question « possédez-vous des armes à feu ? » , « HAHAHAAHahahah » est une bonne réponse. Sans doute la meilleure.

vendredi 13 avril 2007

Partir .




Je passe le port
Mineure et vaccinée
Le coeur vaste
Libérée.

Vous me manqu'rez
Monsieur

.

jeudi 12 avril 2007

Rita et Zéa

J'ai reçu une carte de ma grand maman Gamine...


Bonne fête Joséane

Tu vas fêter tes 17 ans
dans le sud avec ta maman,
tu es chanceuse,
tu le mérite.
Je suis fier de ma petite fille
et j'apprécie beaucoup
de te voir appliquer à tes études

Affectueusement
Je t'aime
Grand-Maman
Rita



Pauvre Grand-maman, si vous saviez...
J'ai honte..
Un peu quand même.
Comment dire.
Je suis si ridicule.
J'ai perdu ma rage.
J'ai perdu ma façon de me foutre de tout.
Cette façon de garder le contrôle sur moi.
Je tremble.
J'ai perdu le sens du jeu.
L'esprit libre...
Je décole.
Je vous reviendrai vrai.
C'est con, vous n'en verrez rien.

mardi 10 avril 2007

Papillon mon ami. (Enfin, presque) ENCORE !

J’étais tranquille. Couchée dans mon lit, les bras derrière la tête, je regardais la fumé d’encens se balader près de moi. Je me serais sans aucun doute endormi si ce n’eût été de cet étrange grattement qui provenait d'un peu trop bas pour mon champ de vision. Trop endormi pour y porté réellement attention, je levai tout de même la tête vers le bruit. Sur l’instant, je n’aperçus qu’une grosse tâche beige qui gigotait entre mes pieds. Mes yeux firent rapidement le point sur ce qui me semblait être le plus énorme papillon de nuit que j’eu à voir de ma vie. L’énorme insecte donc le corps mou était aussi long que ma main, s’agrippa doucement à mon gros orteil gauche. Il dégageait une odeur de fiente assez désagréable que je n’avais pas immédiatement remarquée. ( Sûrement à cause de l’encens; que je me dis plus tard)

Bien pire encore, il entreprit de s’allumer une clope de tabac roulé à la main. (Ou à la patte)

- Ça t’embête pas trop si je fume, mec ?

Il était si laid avec ses gros yeux noirs et ses antennes semblable à des plumes d’oiseau que j’eu trop pitié pour refuser.

- Écoute jolie, moi et mes potes on commence à en avoir marre de tes délires sur les papillons de nuit…Je ne sais trop comment m’avancer là dessus… Que ça soit clair, tu écris mal, trop souvent et ton style est… vachement douteux. En fait, tu as autant de talent que tous tes camarades de classe qui se prennent pour des poètes et qui tentent laborieusement de créer ce qu’il considère comme des œuvres à la Beaudelaire.William Bourrough en plus! Fait moi confiance, ce mec n’a rien à offrir à une petite dame comme toi. Pour l’avoir rencontrer plusieurs fois, je serais même prêt à dire que… bien, tu vois jolie… Un vieux camé… Mort en plus… Enfin.Tu comprends, mec? C’est pas pour humilier qui que ce soit, mais ça devient plutôt ridicule tes trucs.

J’aurais bien voulu me mettre à engueuler la vieille merde volante posée sur mon orteil, mais c’est exactement le moment qu’elle choisi pour me déranger encore. En fait, le truc aillé se mit à tousser, la voix creuse d’avoir fumé autre chose que du tabac, tousser encore et raler . Après une bonne et bruyante minute il/elle me cracha une substance noir et collante sur le genou.

Puis il/elle rendit l’âme.

dimanche 8 avril 2007

YoLaRasta !

Parce que j'aurais voulu un p'tit frère tout comme lui.
Parce que c'est une revange envers Thomas.
Parce que Jean Manu va souvent faire pipi.
Parce qu'il y à encore P-N dans mes cheveux.
Parce que j'en connait pas deux comme Yoan qui correspondent aussi bien à l'idée que je me fais des "Têtes Crades".

Vendredi le 6 c'est parti pour une scéance de crèpage au miel en vu d'une super tête de noeux.

Le p'tit Yoan avant le massacre.



Yoan huit heure plus tard... Après le Crèpage... (Vous méprennez pas, il est heureux)



Avec son Tam il était déjà vachement minion...
Dire que dans 3/4 semaines il aura 35 vrai DreadZ... de ma main en plus... (fierté)

Merci
À Yoan pour sa patience et sa tête.
À Ma-Au pour son suports et ses interludes musicales.
À Éric pour ... être.
À Émilie pour sa présence et ses apsences et notre délire frisson.
À Alex le portier (désolé pour le chocolat).
À Papa-de-Yoan pour la fumé.

Fan en délire, réjouissez vous. 3.



Nouvelle Nouvelles de votre Duo Favori


-= Pour Savoir =-

Deux nouvelles compo !!! Thomas et Fillette ( Titre non-officiel ) ... 8 compo complète et incomplète en tout... C'est pas mal quand même non ?

Un midi à l'adito sinon au café-inn à toutes les semaines pour Jammer. Fantasme, Fantasme.
Pourquoi ?
J'ai pas le temps, équeurer moi pas avec ça !


-= Pour Voir (Et entendre) =-

Après une pause causé par la passion des arts du cirque de Zéa, le Duo Hérésie sera de retour en live dans le bureau de Jérome, une fois de plus, pour vous jouer de gentil tour

Vous pourez bientôt revoir encore "Et l'eau" (Avec Andrée-Anne) et sur scène mercredi le 11 !
Hérésie de retour en live sur scène, une fois de plus, pour vous faire la morale


-=Pour Avoir (entre les mains, et les oreilles) =-

Rien d'autre n'a été enregistrer pour l'instant, mais un démo sera bientôt bien plus qu'un fantasme...
Yé ! Vive les Algériens.
Bizou Sid, ou que tu sois.

Ma-Au, si t'a un truc à rajouter, fait moi signe.

vendredi 6 avril 2007

Mario Dumont : Un raisin frisson.

Pour cet article, nous n’avons pas de sujet précis, mais nous vous ferons par de notre opinion. Commençons par la dernière deuxième chose. Émilie parle comme si nous étions une entité. Elle nous autocensure. Empêchez la de manger du gingembre et du raisin. Notre article va parler de tout, de rien et du vrai sens de la vie. Nous allons déblatérer sur les composantes du monde et de leur effet sur les êtres humains. Des frissons par exemple. Le cerveau d‘Émilie est la ressource naturelle, je suis une industrie, et l’ordiNATEUR est le commerce. Bref le secteur primaire, secondaire et tertiaire. Nous avons une bonne attitude. Altitude. On va conclure plus vers la fin du texte. Nous tenons à nous excuser, ce n’était qu’une promesse électorale.Une fois qu’on est élu, on ne voit pas pourquoi on la respecterait. C’est l’évidence même, on vous à eu.Nous sommes les seules véritables critiques de la politique. Tous les pseudos analyste sérieux ne savent vraiment pas ce qu’il raconte. Avertissement : nous commencerons éventuellement pas le début. Voilà. En fait il faudrait remonter au fondement même de la civilisation humaine. Comme ce serait une tâche terriblement ardue, nous nous contenterons, simplement, d’analyser la dernière campagne électorale. Tout d’abord parlons de Mario Dumont, ce qui ne devrait pas vous surprendre étant donné notre titre plutôt stratégique. Félicitons nous pour la réussite de notre missive, maintenant notre dessin accompli enchaînons. Voulez-vous qu’on vous parle de pirate? Non, ne délirons pas trop, vous pourriez vous retourner vers les pseudos intello sérieux. Finalement, la campagne électorale a véritablement eu lieu Ce qui constitue le seul commentaire pertinent non discutable. Nous voudrions noter le fait que nous ne nous sommes pas profondément enfoncés dans le sujet, par respect pour vos valeurs et convictions politique. Nous ne voudrions pas influencer votre opinion. Mario Dumont :un raisin frisson (notez la rime)
Ce rendez-vous avec l’histoire nous l’aurons. ( Ça rime encore)


PS : Finalement Mario Dumont : Un raisin frisson n’est pas vraiment un titre pertinent. Comme la fois ou le gars m’avait dit : en effet. Finalement c’est pas très pertinent.

Émilie et Zéa

jeudi 5 avril 2007

Entre mes mains.

Dans ma main gauche:

Mon passeport, si frais...
Plein d'espoir...
Et triste à la fois.
Parce que nu.
Tellement nu...

Le ministre des Affaires étrangères du Canada, au nom de la Majesté la Reine, prie les autorités intéressées de bien vouloir m'accorder libre passage à moi, titulaire de ce passeport, de même que l'aide et la protection dont j'aurai besoin.

Je suis une citoyenne canadienne.
Je suis une citoyenne du monde.




Dans ma main droite:

Réponse à l'élève...
Demande d'admission...
Arts et lettres...
Félicitations.
Merci.

Nous sommes heureux de vous informer que vous répondez, jusqu'à présent, aux faibles conditions d'admission. Nous souhaitons vous accueillir bientôt, du moins, c'est ce que nous croyons.

Savoir Aimer Vivre.
Je sais, oui je sais.

mercredi 4 avril 2007

La clinique de l'anglais

Un autre extrait type délectable déchet...
Faut croire que les seul trucs potables que j'écris... c'est pas pour ce blog...

L1,C2,La clinique de l'anglais


J'attendais depuis trois heures pour avoir une entrevu avec se fils de pute de Wintzer. Trois heures, c'est environ le temps que ça me prend à me rendre compte que la clinique ou je me trouve à un petit truc de suspect. Je suis sagement posé sur une des deux chaise qui semble former à elle seule la salle d'attente. Lecture, détente et attente; trois mots que la communauté associe avec délectation. La preuve, la petite table base devant moi est couverte de magasines de toute sorte. En fait, toute sorte était mal choisi comme thème: Revus scientifiques ou l'on à découpé les lettres de certain titre, peut-être en vu d'un message anonyme haineux ou d'une carte d'anniversaire simpa, pourrait être plus approprié.

Je suis seul à attendre depuis un moment, mon chouette compagnons ayant dû me laisser hâtivement, les mains au cul comme pour l'empêcher de tomber.
- T'es venu pour lui c'est ça ? Tu diras à cet enfant de chienne qu'il peu toujours aller se faire voir. Ça fait 7546 demi-secondes que j'attend et ce poisson-chat menace toujours de me sortir du derrière. Si je ne m'en vais pas maintenant, je risque de tacher mon pantalon et ma femme va encore me foutre une voler...

Finalement le doc.Wint. ( Ne nous disputons pas aux termes ) se présente devant moi. À voir la façon donc il me regarde, c'est soit il me crache dans l'oeil soit il fait un truc franchement indécent.
- Vous êtes ici pour l'emploi, oui ? Oui... hum... Banville sans doute ? Oui... hum...

Je fût soulager de voir que mec semblait se donner comme mission de répondre lui même à son questionnaire... Avec de la chance peut-être n'aurais-je même pas à ouvrir la bouche.

- Je vois que vous avez du sel sur vos chaussures... Veuillez les enlever s'il vous plaît. Les patients on la recommandation de limiter au maximum la présence de sel superflu dans leur organisme.

Mes bottes me semblait particulièrement impropre à la consommation, mais je me fit tout de même une image mentale des patients lichant sauvagement mes chevilles et mes pieds. Cela me plaisait guère.

- Si vous voulez me suivre donc...


Ps: J'ai dis potable ? ... C'est peut-être plus impropre à la consommation.

lundi 2 avril 2007

Sans.

Être au bord d'un gouffre, sans contrôle, sans supports. Certain s'en nourrissent, j'en fait une indigestion.
Peut-être est-ce de cela qu'il parle :
s'arracher les yeux dans un bruit de succion amical pour les remplacer par deux clémentines. Question de voir la vie d'une façon plus acidulé.
Un piège propre à l 'emprisonné.
Qui sais si nous n'avons tous pas tord. Le mal est fait.
Oui, léger, fragile, inatteignable.
Qui a-t-il au dessus de nous. En dessous.
Et si terre on ne touchait jamais ?
Lever les yeux au ciel suffira-t-il pour ralentir la chute, s'envoler ?


Éloigner-vous! Éloigner-vous.
Je ne suis plus celle que vous avez voulu...
Qu'est-ce que c'est que ces sourires ?
Éloigner-vous !
Et si demain je me détache. Agressivement.
Je serais de nouveau votre soeur.
Pour l'instant, à bientôt.


Elle est ou la rage ?
Pas très loin derrière ma peur. Et ...
Hola, ne soyez pas vulgaire
J'écris pour moi, pas pour vous.
La rage est toujours la.
Laisser reposer.
Elle ne vous doit plus rien.