lundi 23 avril 2007

Mots choisie d'une sacrée Touriste 4


Je ne suis pas saoul premièrement, imaginer un singe qui vous grimpe dans le dos. La fille s’appelle Trinidad. Houlala. Ils ont oublié la question importante. Si je mange du sable, qui me prendra pour une vache brûlée ? Les gens se prennent pour des toasts, il se font griller. C’est vrai que le pain, c’est bon caramélisé, mais parfois. De toute façon, depuis le temps, tout le monde s’en fou que je ne me fasse pas brûler. Je me couche en petit pain et attends. À l’ombre. Les gens genre masculin ont des étoiles sous les bras et les femmes ont parfois les seins nus. Ça alors.Que reste-t-il qui leur appartiens vraiment. Leur poumon noir, puant, sont depuis longtemps bouchés, brûlé par cette fumé consommé. Pendant que je m’entretiens dans mon ivresse, un de mes pieds brûle. Je le regarde partir en fumer. C’est fini. Je m’étant à l’ombre. Les gens ce plaindrons, je m’en fou. Je ferais le désert d’Alaska avant celui du Sahara et tant pi. Cette fille veut-elle me voler mon maillot ? D’où je suis, je vois tout les bleu de cuba. Et les gens sont jaloux. Dieu est une fillette. Aller vous faire foutre. Je me moque du citron à froufrou devant moi. D’ailleurs, qui ce souci de cette horreur. Les gens veulent voir l’horreur, mais ils ne s’en souci jamais. La décadence est réelle. Et seule la vérité a un sens pour tous ceux qui ont un travail nul. Comme à Paris, c’est comme ça d’où je viens aussi.

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