La jonglerie comme langage universel :
Trois Espagnol style punk de rue qui font je ne sais quoi sur cette foutue plage laide.
En fait, moi aussi à choisir, je la préfère à toute les autres. Donc.
Les autres plongent. Je profite du vent.
Le quatrième rebelle, un jeune chien sale et arrogant est tout aussi chouette. Il s’amuse à attirer mon attention et me fait tourner la tête vers ses maîtres qui s’amuse avec des quilles.
Zéa le clown explose dans mes chevilles et monte et brûle et voilà. Je suis une implosion.
Je fais un clin d’œil au chien, cherche trois roches plutôt rondes, et hop!
Le mec au Mowack me lance un cri (je me retourne) et ses quilles.
Avec le vent, pas facile. Marrant, oui…
Pendant que la fille semble se moquer assez vulgairement de mes essais infructueux, je sens que je suis au bon endroit. ( Sentiment assez rare sinon quasi inexistant)
Puis c’est séance de balles, retour aux roches, aux balles, aux sandales, aux roches.
Trois méchants et une enfant. Le lien est tout de même fait.
Morales de cette histoire :
- J’aime les méchants punks Espagnols.
- Vent et jonglerie, triste réalité.
- Jonglerie, langage universel
dimanche 22 avril 2007
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